Veules-les-Roses | |||||
La Veules et les cressonnières. | |||||
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Côte d'Albâtre | ||||
Maire Mandat |
Yves Tasse 2020-2026 |
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Code postal | 76980 | ||||
Code commune | 76735 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Veulais | ||||
Population municipale |
523 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 101 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 52′ 27″ nord, 0° 48′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 79 m |
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Superficie | 5,19 km2 | ||||
Type | Commune rurale et littorale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Valery-en-Caux | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.veules-les-roses.fr/ | ||||
Veules-les-Roses est une station balnéaire et une commune française, située en bord de mer, dans le département de la Seine-Maritime, en région Normandie. Elle compte parmi « Les Plus Beaux Villages de France ».
Ses habitants sont les Veulais.
Géographie
Situation
La commune de Veules-les-Roses se situe sur le littoral cauchois (côte d'Albâtre).
Le village est situé à 7 km de Saint-Valery-en-Caux, à 8 km de Fontaine-le-Dun, à 18 km de Doudeville, à 20 km d'Offranville et à 26 km de Dieppe.
- Vue générale du village.
- La falaise, vue vers l'est.
- La plage, vue vers l'est.
- Le village et les falaises, vue vers l'ouest.
Hydrographie
Elle est baignée par la Veules, plus petit fleuve de France dont la longueur du cours atteint 1 149 m.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dieppe », sur la commune de Dieppe, mise en service en 1949[7] et qui se trouve à 21 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 798,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 61 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Veules-les-Roses est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,7 %), zones urbanisées (15,9 %), prairies (4,8 %), zones humides côtières (0,6 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Wellas en 1025[23], Welles, Veules au XIVe siècle[24].
Il s'agit du vieil anglais wella (anglais moderne well « puits »)[25] ou du vieux norrois vella[26], au pluriel qui peut désigner un cours d'eau ou une source, en l'occurrence « la Veules ». Le transfert du nom d'un cours d'eau au nom d'un lieu est fréquemment observé, ainsi trouve-t-on en Seine-Maritime : Dieppe, Fécamp, Eu, etc.
Homonymie avec les Wells d'Angleterre.
On identifie cet élément en Normandie dans des composés fréquents comme Cresseveuille (Cresseveulle 1668 cf. Creswell, GB), Rouelles (désigné sous la forme Rodewella au Moyen Âge cf. Rothwell, GB), Rouelles (lieu-dit à Sainte-Mère-Église), le Radegueule (Radevel XIIe siècle cf. Radwell, GB), etc.
Le déterminant complémentaire -les-Roses a remplacé celui de -en-Caux (Journal officiel du ), il revêt un caractère quelque peu publicitaire, car il n'y a aucune production de roses dans cette cité balnéaire[27].
Histoire
Dès 1840, l'actrice de la Comédie-Française, Mademoiselle Anaïs, entraîne dans son enthousiasme le comédien Étienne Mélingue. L'écrivain Paul Meurice y reçoit à plusieurs reprises son ami Victor Hugo. L'écrivain Michel Bussi a écrit une nouvelle dédiée à l'actrice dans son ouvrage T'en souviens-tu mon Anaïs ?. Il imagine un secret gardé par la jeune femme et qui impliquerait Victor Hugo. Amoureux de Veules-les-Roses, l'auteur déclare dans un entretien () mené avec un journaliste de Tendance Ouest, à propos de son endroit préféré en Haute-Normandie : « Je pense que ça devrait être la côte d’Albâtre, plus particulièrement la ville de Veules-les-Roses. J’aime ce village qui reste préservé, presque secret et qui n’est pas encore touché par le tourisme de masse. J’adore ses falaises, la ville a quelque chose de romantique et de sauvage. »
Veules et ses environs ont ensuite été le lieu d'élection de plusieurs peintres russes au XIXe siècle, en particulier Alexeï Bogolioubov (qui découvre la Normandie en 1857), Ilia Répine, Vassili Polenov, Konstantine Savitski, Alexeï Harlamov et Karl Goun.
Deux représentants des coloristes écossais Samuel Peploe et John Duncan Fergusson y ont aussi posé leur chevalet.
En , 3000 soldats français et anglais [28] sont évacués sur la plage de Veules pour échapper à la capture. Les 11 et , la ville subit une bataille destructrice entre le 23e groupe de reconnaissance de division d'infanterie et la 7e Panzerdivision du général Rommel. Le front de mer est particulièrement détruit par les combats. Un patrouilleur, le Cérons, est coulé face à la plage.
Le , Veules-les-Roses est classée par l'association des plus beaux villages de France, devenant le 157e membre de l'association et le 1er membre de Seine-Maritime.
Dans son communiqué, l'association précise : « L’histoire est belle et l’issue, quasi inattendue pour l’un des plus anciens villages du pays de Caux. Car rien - ou presque, n’aura épargné Veules-les-Roses : des invasions barbares à la Seconde Guerre mondiale en passant par les guerres de Religion… Pillages, incendies, destructions n’ont pourtant pas eu raison de la volonté des Veulais de reconstruire et protéger leur patrimoine »[29].
Politique et administration
Liste des maires
Distinctions et labels
Veules-les-Roses a été classée parmi les Plus Beaux Villages de France en 2017[30].
Jumelages
Veules-les-Roses a signé un serment de jumelage avec :
- Alfriston (Grande-Bretagne) depuis 2013.
- Cérons (France) depuis 2016.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].
En 2020, la commune comptait 523 habitants[Note 7], en diminution de 9,2 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Activités
À Veules, la pêche a été une activité importante durant les décennies passées. Des pêcheurs avec leur doris, allaient tendre au large leurs trémails, bertelles (filets à grosses mailles) casiers ou cordes. De même, à marée basse, ces mêmes pêcheurs allaient poser leurs parcs, tendre leurs verveux ou faire une marée de salicoques (crevettes) aux pousseux, fouines, lannets ou autres caudières (balances). La fourche à bêcher était utilisée pour attraper les équilles. Aujourd'hui, on peut encore admirer ces derniers artisans de la pêche et faire une petite marée de crevettes, s'amuser dans les rochers à ramasser quelques vigneaux (bigorneaux) ou cueillir des moules.
L'activité de nos jours s'est enrichie, outre le développement de la cressiculture dans les sources de la Veules, par la production d'huîtres au pied des falaises.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Trois demeures et villas de bord de mer aux 6, 13 et 25 rue du Docteur-Pierre-Girard (RD 142)[36],[37],[38]
- Chemin dit des Champs-Élysées, un moulin répertorié du patrimoine culturel[39]
- Autres moulins à eau sur le cours de la Veules[40]
- Église Saint-Martin[41] Classée MH (1996)
- Jardin Saint-Nicolas, dans lequel on trouve les ruines de l'église du même nom[42] et la croix hosannière nimbée du XVe siècle[43] Classé MH (1930)
- Monument à Victor Hugo, place Mélingue, auquel ont contribué les sculpteurs André-Joseph Allar, Louis-Ernest Barrias et Denys Puech[44].
- L'épave du Cérons, navire coulé le , visible sur la plage à marée basse[45].
Patrimoine naturel
Les espaces remarquables du littoral sur la commune sont cartographiés depuis 1994 (1994)[46].
Les cressonnières sont situées au début de la balade touristique qui mène à la plage en passant par les Champs-Élysées.
Personnalités liées à la commune
Anaïs Aubert fut suivie par de nombreux autres artistes, Étienne Mélingue, les paysagistes Xavier et César De Cock frères, Antoine Chintreuil et Henri Harpignies, Paul Meurice, les comédiens Paul-Louis Leroux (de la Comédie-Française) et Eugène Pierron [47], Alexandre Dumas fils, Lockroy, José-Maria de Heredia, Henri Rochefort, Alexis Bouvier, Jules Michelet, Victor Hugo[48], les poètes Jean Richepin et François Coppée, les dramaturges Jules Claretie, Henri Lavedan, Émile Bergerat et le compositeur Alexandre Georges.
Des hommes politiques comme Henry Maret, Alexandre Millerand, René Viviani, Louis Malvy, Albert Clemenceau ou Pierre Taittinger fréquentent également la station.
Victor Boucher, Georges Chamarat, Saint-Granier, l’écrivain Maurice Privat, Dominique Bonnaud ainsi que les sportifs Suzanne Lenglen et Lucien Gaudin fréquentent Veules par la suite.
Anna Hope Hudson a établi un hôpital pour soldats pendant la Première Guerre mondiale.
Héraldique
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D'azur au voilier d'argent, la coque bordée d'or, flammé du même, voguant sur une mer d'argent agitée d'azur, de laquelle émerge un filet de sable chargé de poissons d'or hissé à bord du bateau par un marin d'argent vêtu et couvert de sable, le tout accosté de deux roses naturelles de gueules, les pétales bordés d'argent, tigées et feuillées de sinople, celle de dextre posée en barre et cette de senestre affrontée posée en bande; au chef cousu de gueules chargé de deux bouquets de roses naturelles sans nombre d'or, de gueules et d'argent, tigées et feuillées de sinople, adextrées de deux léopards d'or passant l'un sur l'autre. Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie. |
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Pour approfondir
Bibliographie
- Michel Bussi, Anaïs : Le secret de Veules-les-Roses, Hervé Chopin, , 160 p. (ISBN 978-2357206793).
- Marie Jamet, Veules-les-Roses balnéaire : histoire et architecture, Rouen, Éditions des Falaises, , 144 p. (ISBN 978-2848116310).
- Didier Le Scour, Danièle Dunogent et Antoine Auverny, Veules-les-Roses : La mer est là, Dieppe, La Vigie, 1980.
- Marcel Marc, Les Trois Crimes de Veules-les-Roses, Paris, Gallimard, , 221 p.
- Manoëlle Miquel-Regnauld, Veules-les-Roses, la Romantique, Éd. Bertout, 1998 ; Charles Corlet, 2011 (ISBN 978-2-84706-392-9).
- Tatiana Mojenok Ninin, Les Peintres russes et la Normandie au XIXe siècle, Éd. Points de vues, Ass. pour la Sauvegarde du Patrimoine Veulais, 2010 (ISBN 978-2-915548-47-1).
- Paul Noël dit Joseph Tourteau, L'Écrit des Mouettes (histoires cauchoises), Luneray, Éd. Bertout, 2002.
- Louis Prevost, Recherches historiques sur la ville et la vallée de Veules, 1888 ; Éd. Bertout, 1980; Le Livre d'histoire, 2012 (ISBN 978-2-7586-0674-1).
- Marc Tabone, Veules, : Écossais et Français pris au piège !, Bonsecours, Comever, , 112 p. (ISBN 978-2-9522138-7-5).
- Martine Wattel (photogr. Vincent Thibert), Veules-les-Roses Saint-Valery-en-Caux : fenêtres sur mer, Rouen, Éditions des Falaises, , 128 p. (ISBN 978-2848115108).
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Veules-les-Roses sur le site de l'Insee
- Fiche Station verte de Veules-les-Roses
Notes et références
Notes
- ↑ Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- ↑ L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- ↑ Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- ↑ La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- ↑ Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- 1 2 Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- ↑ 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- ↑ Glossaire – Précipitation, Météo-France
- ↑ « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- ↑ [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- ↑ « Station Météo-France Dieppe - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- ↑ « Orthodromie entre Veules-les-Roses et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France Dieppe - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Orthodromie entre Veules-les-Roses et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- ↑ « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- ↑ « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- ↑ « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- ↑ « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- ↑ « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- ↑ François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 162.
- ↑ Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. II, Genève, Librairie Droz, (ISBN 2-600-00133-6, lire en ligne), p. 1010.
- ↑ François de Beaurepaire, op. cit..
- ↑ Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie, éditions OREP, 2009, p. 54.
- ↑ Christian Guerrin, « Les compléments toponymiques dans les noms de communes de Seine-Maritime », Nouvelle revue d'onomastique, Année 2000, p. 318.
- ↑ « Son Histoire », sur Veules les Roses, (consulté le ).
- ↑ « Veules-les-Roses (76), nouveau promu parmi Les plus Beaux Villages de France ! | Les plus beaux villages de France - Site officiel », sur www.les-plus-beaux-villages-de-france.org (consulté le ).
- 1 2 Camille Larher, « Municipales de mars 2020 : deux listes et une candidature individuelle à Veules-les-Roses : A veules-les-Roses, près de Dieppe (Seine-Maritime), les municipales s'annoncent mouvementées : deux listes et une candidature individuelle vont s'affronter », Les Informations dieppoises, (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Claude Claire, le maire actuel de Veules-les-Roses (Seine-Maritime), avait déjà fait part de son souhait de ne pas se représenter aux prochaines élections municipales. Mais il souhaite aussi voir sa ville natale continuer à évoluer entre de bonnes mains. Une partie de son équipe figure sur la liste portée par Yves Tasse, un Veulais âgé de 62 ans. À la retraite courant 2020, il dirige un des 10 entrepôts Transgourmet. C’est lui qui prend la tête de la liste Veules pour tous ».
- ↑ « Veules-les-Roses. Les conseillers ont élu leur nouveau maire et ses adjoints », Le Courrier cauchois, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- ↑ « Maison », notice no IA00054452, base Mérimée, ministère français de la Culture, par l'architecte rouennais Pierre Lefebvre
- ↑ « Demeure », notice no IA00054451, base Mérimée, ministère français de la Culture, d'origine de 1577, remaniée
- ↑ « Maison », notice no IA00054454, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Un moulin du chemin des Champs-Élysées. », notice no IA00054455, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Quatre moulins non étudiés. », notice no IA00054462, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Église Saint-Martin. », notice no PA00101085, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Église Saint-Nicolas. », notice no IA00054460, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Croix hosannière. », notice no PA00101084, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Monument à Victor Hugo, Veules-les-Roses », Petit patrimoine
- ↑ « Autres épaves "non coulées" à Dunkerque ».
- ↑ « Les espaces remarquables du littoral à Veules-les-Roses », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
- ↑ Bibliographie BnF d'Eugène Pierron (1819-1865).
- ↑ Victor Hugo a été accueilli plusieurs fois chez son ami Paul Meurice qui possédait une maison à Veules-les-Roses.