Bry-sur-Marne | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Val-de-Marne | ||||
Arrondissement | Nogent-sur-Marne | ||||
Intercommunalité | Métropole du Grand Paris EPT Paris-Est Marne-et-Bois |
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Maire Mandat |
Charles Aslangul 2020-2026 |
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Code postal | 94360 | ||||
Code commune | 94015 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bryards/Bryardes | ||||
Population municipale |
17 592 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 5 251 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 50′ 28″ nord, 2° 31′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 36 m Max. 100 m |
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Superficie | 3,35 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Villiers-sur-Marne | ||||
Législatives | 5e circonscription du Val-de-Marne | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://www.brysurmarne.fr/ | ||||
Bry-sur-Marne est une commune française située dans le département du Val-de-Marne, en région Île-de-France.
Desservie par une station du RER A (Bry-sur-Marne RER), Bry-sur-Marne fait partie du secteur 1 de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée, Porte de Paris avec Noisy-le-Grand et Villiers-sur-Marne.
Elle devient connue en partie grâce aux Studios de Bry-sur-Marne et à l'Institut national de l'audiovisuel (INA).
Géographie
Localisation
Bry-sur-Marne est située dans le grand Bassin parisien, entre les villes du Perreux-sur-Marne à l'ouest, de Noisy-le-Grand au nord, de Villiers-sur-Marne à l'est et de Champigny-sur-Marne au sud.
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Géologie et relief
Hydrographie
Le château du Rancy, inscrit aux monuments La commune est bordée au nord et à l'ouest par la Marne. Deux îles font partie du territoire de la commune :
- Île d'Amour ;
- Île du Moulin.
Climat
Le climat bryard est identique à celui de Paris : tempéré, de type océanique.
Voies de communication et transports
Voies routières
- Autoroute A 4
- Départementale D120
- Pont de Bry
Pistes cyclables
Il existe une piste cyclable qui longe les bords de la Marne.
Transports en commun
Gares
- RER : gare de Bry-sur-Marne RER
Dans le futur, la commune sera desservie par :
- Ligne , gare de Bry-Villiers-Champigny (métro)
- Ligne gare de Bry-Villiers-Champigny RER
RER A
La ville de Bry-sur-Marne est desservie par une gare du sur la branche A4 de Marne-la-Vallée - Chessy :
- Bry-sur-Marne RER, implantée au nord de la commune de Bry-sur-Marne, juste à proximité de la commune de Noisy-le-Grand.
RER E / Ligne 15
La future gare de Bry - Villiers - Champigny RER sera implantée au sud de Bry-sur-Marne, dans la commune voisine à Villiers-sur-Marne vers l'ouest de la ville (chemin des Bouteraines) et a proximité de Champigny-sur-Marne, vers le nord-est de la ville. Elle sera desservie par la future ligne entre la gare de Noisy - Champs et la gare de Champigny Centre qui verra le jour en 2024 et sera en correspondance avec le entre les gares des Boullereaux-Champigny et la gare de Villiers-sur-Marne - Le Plessis-Trévise RER.
Urbanisme
Typologie
Bry-sur-Marne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[4] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[7],[8].
Morphologie urbaine
Logement
Projets d'aménagements
Ligne 15/RER E : Gare de Bry-Villiers-Champigny
La future gare de Bry-Villiers-Champigny est une future station de RER/Métro qui ouvrira vers fin 2024 sur la future ligne et assurera la correspondance vers 2025 sur le .
La gare sera implantée dans l'ouest de la commune de Villiers-sur-Marne, dans le sud de Bry-sur-Marne et de la R10 et dans le nord de Champigny-sur-Marne. Elle devrait passer à proximité du chemin des Bouteraines (Villiers-sur-Marne). Le futur bus Altival (qui doit relier la gare de Sucy-Bonneuil à celle de Noisy-le-Grand - Mont d'Est sans pour autant passer par Paris) devrait desservir la gare de Bry-Villiers-Champigny dès son ouverture. La gare de Bry-Villiers-Champigny permettra de se rendre à Sucy - Bonneuil en 3 minutes et la future gare de Villejuif - Institut Gustave Roussy en 14 minutes seulement. La gare du devrait être en extérieur avec un abri voyageur en hauteur et la ligne devrait être une gare souterraine.
Bry-Villiers-Champigny sera implantée entre les gares des Boullereaux-Champigny et Villiers-sur-Marne - Le Plessis-Trévise pour le RER E et la ligne P (en 2025) et entre les gares de Champigny Centre et celle de Noisy - Champs pour la ligne 15.
Toponymie
Le nom de Bry, selon le site officiel de la ville, « vient du celtique Briw signifiant pont ou passage traversant un cours d'eau »[9].
Histoire
Le site de l'actuelle ville est habité depuis le Néolithique. Les plus anciens restes humains, découverts dans la cour de l'école primaire, remontent au Ve siècle av. J.-C. Bry a également été le site d'une nécropole datant de la Gaule romaine et de l'époque mérovingienne[10].
La ville est mentionnée sous son le nom de Brie dans « une charte de Charles le Chauve datant de 861 » - première trace écrite attestant son existence. En 1130, la ville est dotée d'une église[10].
Dans les années 1690, Nicolas de Frémont, marquis d'Auneuil, entreprend la construction du château de Bry. En 1842, l'église se voit dotée du diorama en trompe-l'œil de Louis Daguerre (voir ci-dessous)[10]. L'actuelle mairie est construite en 1866.
Stanislas Lépine, 1873
Palais des Beaux-Arts de Lille
En 1870, au cours du Siège de Paris, la bataille de Champigny (30 novembre-2 décembre 1870) se déroule en partie sur le territoire de la commune. Elle en sort dévastée. Plusieurs monuments rappellent ces évènements tragiques. Le chemin de fer traverse Bry en 1928 (Ligne de la grande ceinture de Paris), mais la gare de voyageurs n'est construite qu'en 1932. Elle ne sera ouverte au trafic voyageurs que jusqu'en 1939.
La construction de l’hôpital Saint-Camille commence en 1936, est interrompue par la Seconde Guerre mondiale, puis reprise en 1946. Il est inauguré en 1952 et agrandi en 1963[11].
Bry est connectée à l'autoroute A4 en 1970, et à la ligne A du RER d'Île-de-France en 1977[10].
Pour davantage d'informations sur l'histoire urbaine et le patrimoine de Bry-sur-Marne, voir l'ouvrage publié dans la collection Images du Patrimoine du ministère de la Culture : Inventaire général du patrimoine culturel, Région Île-de-France. Isabelle Duhau (réd.) ; Stéphane Asseline (photogr.). Bry et Champigny, dans les méandres de la Marne. Lyon : Lieux Dits, 2007[12]. Voir également les bases de données nationales du ministère de la Culture : Mérimée pour l'architecture, Palissy pour les objets mobilier et Mémoire pour l'iconographie[13].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Jusqu’à la loi du 10 juillet 1964[14], la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais au Val-de-Marne à la suite d'un transfert administratif effectif le .
La commune était historiquement le chef-lieu du canton de Bry-sur-Marne. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Villiers-sur-Marne.
Intercommunalité
La commune n'était membre, jusqu'en 2015, d'aucune intercommunalité à fiscalité propre.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[15].
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).
La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Paris-Est-Marne et Bois[16].
Tendances politiques et résultats
Élections présidentielles
- Résultats des deuxièmes tours :
- Élection présidentielle de 2002 : 86,04 % pour Jacques Chirac (RPR), 13,96 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 83,50 % de participation.
- Élection présidentielle de 2007 : 61,35 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 38,65 % pour Ségolène Royal (PS), 85,44 % de participation. Bry-sur-Marne fait partie des 82 communes de plus de 3 500 habitants à adopter les machines à voter[17].
- Référendums
- Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel : 73,44 % pour le Oui, 26,26 % pour le Non, 34,43 % de participation.
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l’Europe : 62,15 % pour le Oui, 37,85 % pour le Non, 72,34 % de participation.
Élections législatives
- Résultats des deuxièmes tours :
- Élections législatives de 2002 : 51,98 % pour Gilles Carrez (UMP), élu au premier tour, 20,63 % pour Evelyne Picard (PS), 70,31 % de participation.
- Élections législatives de 2007 : 56,03 % pour Gilles Carrez (UMP), élu au premier tour, 16,45 % pour Marie-Odile Dufour (PS), 63,31 % de participation.
Élections européennes
- Résultats des deux meilleurs scores
- Élections européennes de 2004 : 22,11 % pour Harlem Désir (PS), 21,62 % pour Patrick Gaubert (UMP), 48,33 % de participation.
- Élections européennes de 2009 : 34,06 % pour Michel Barnier (UMP), 20,00 % pour Daniel Cohn-Bendit (Europe Écologie), 44,41 % de participation.
Élections régionales
- Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections régionales de 2004 : 51,76 % pour Jean-François Copé (UMP), 39,97 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 68,02 % de participation.
- Élections régionales de 2010 : 53,63 % pour Valérie Pécresse (UMP), 46,37 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 49,77 % de participation.
Élections cantonales et départementales
- Résultats des deuxièmes tours :
- Élections cantonales de 2001 : 52,83 % pour Dominique Roblin (RPR), élu au premier tour, 15,62 % pour Evelyne Picard (PS), 55,71 % de participation.
- élections cantonales de 2008 : 64,88 % pour Dominique Roblin (UMP), élu au premier tour, 18,76 % pour Maria-Isabelle Flores-Racmachers (PS), 53,01 % de participation.
Élections municipales
- Résultats des deuxièmes tours :
- Élections municipales de 2001 : 70,88 % pour Jean-Pierre Spilbauer (DVD) élu au premier tour, 23,45 % pour Philippe Genest (PS), 59,97 % de participation.
- Élections municipales de 2008 : 73,04 % pour Jean-Pierre Spilbauer (DVD) élu au premier tour, 26,96 % pour Philippe Genest (PS), ?? % de participation.
- Élections municipales de 2014 : 48,55 % pour Jean-Pierre Spilbauer (DVD) élu au second tour, 31,73 % pour Charles Aslangul (UMP), 19,70 % pour Johan Ankri (PS), 58,04 % de participation.
- Élections municipales de 2020 : 51,72 % pour Charles Aslangul (LR) élu au second tour, 48,28 % pour Serge Godard (LREM).
Liste des maires
Depuis la Libération, sept maires se sont succédé à la tête de la commune.
Ville internet
En 2008, la commune de Bry-sur-Marne a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[24].
Politique environnementale
Jumelages
- L'île de Saint Martin depuis 2016 ;
- Moosburg-sur-Isar (Allemagne) depuis 1973 ;
- Sawbridgeworth (Angleterre) depuis 1973.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[25] - [Note 3].
En 2020, la commune comptait 17 592 habitants[Note 4], en augmentation de 6,35 % par rapport à 2014 (Val-de-Marne : +3,15 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Bry-sur-Marne est située dans l'académie de Créteil.
Un lycée international polyglotte de 1 500 places construit sur les communes de Noisy-le-Grand et de Bry-sur-Marne a ouvert ses portes à la rentrée 2015. La commune héberge le collège Henri-Cahn attenant à l'école élémentaire Henri Cahn, et l'institut privé Saint-Thomas dans le château de Bry (primaire et collège), le groupe scolaire Paul-Barillet dans les « Hauts de Bry » (maternelle + élémentaire), le groupe scolaire Louis-Daguerre (maternelle + élémentaire), la maternelle Jules-Ferry et les écoles Etienne De Silhouette maternelle et Etienne De Silhouette élémentaire (anciennement « écoles de la Pépinière »).
Collège Henri-Cahn
Il tient son nom d'un maire de la ville qui, en 1929, fit construire un groupe scolaire, au confort moderne pour l'époque[28].
Collège public, il accueille près de 700 élèves, répartis en 26 divisions[29].
Après des classes bilangues[30] - en allemand puis espagnol - une section internationale portugais s'y est ouverte à la rentrée 2018[31].
La ville de Bry-sur-Marne appartient au secteur de l'académie de Créteil ; ainsi les lycées « de secteur » sont les lycées Édouard-Branly et Louis-Armand à Nogent-sur-Marne, Pablo-Picasso à Fontenay-sous-Bois et Paul-Doumer au Perreux-sur-Marne.
Conseil Municipal des Jeunes (CMJ)
La ville de Bry-sur-Marne est composé d'un Conseil Municipal des Jeunes ( comme d'un Conseil Municipal des Seniors) qui accueille les jeunes bryards et bryardes de 14 à 17 ans pour s'investir sur des projets, proposés par leurs soins et votés lors d'assemblées plénières, sur la ville et/ou en dehors, et leur apprendre à gérer un budget défini à l'année. Le CMJ est aussi appelé à participer à des manifestations annuelles comme le dépôt de gerbes lors des commémorations. Tout ceci sur la base du volontariat et, ce, pendant un an. Le CMJ est composé de 5 sphères, votées lors d'un week-end d'imprégnation: Communication, Événementiel, Grands Projets, Éco-urbanisme et Sociale, dans lesquelles les jeunes s'inscrivent comme ils le souhaitent, ils peuvent faire partie de toutes les sphères comme d'une seule. Ils sont supervisés par un coordinateur qui les accompagne sur les différentes actions et réalise les démarches administratives liées aux projets[32]. Le CMJ de Bry-sur-Marne participe aussi à l'ANACEJ dans le but de discuter avec d'autres CMJ & CME (Conseil Municipal d'Enfants) sur des thématiques variées et d'actualités tels que l'écologie, ou bien la remise des prix pour les projets marquants de l'année[33].
Manifestations culturelles et festivités
- L'école municipale de musique Hector-Berlioz classée conservatoire à rayonnement communal, participe à de nombreuses manifestations artistiques dans Bry-sur-Marne et les communes voisines.
- Le Bry Harmonie Orchestra (l'orchestre municipal) organise chaque année la « Céciliade » à l'occasion de la Sainte-Cécile, patronne des musiciens. Cette fête regroupe tous les ans de nombreuses associations musicales dans un même projet de concert.
- Le concert des « violons de Bry », sous la direction de Pascal Oddon (premier prix du conservatoire de Paris), regroupe les 100 membres de l'association pour un concert annuel.
- De grandes animations sont organisées chaque année pour la fête de la musique, sur la place Devinck ainsi que dans le square de Lattre-de-Tassigny.
- Chaque année de mi-novembre à mi-décembre se tient à l'hôtel de Malestroit le « Salon national des artistes animaliers ».
- Au premier trimestre de l'année, se tient le salon de Bry où sont présentés une majorité d'artistes bryards.
- Une initiative particulière concerne l'animation culturelle en créant des séquences nommées « Arts hors les murs », où les œuvres sont exposées par vagues de deux mois chez les artisans, les commerçants et tout lieu ouvert au public.
Santé
- L'hôpital de proximité Saint Camille, établissement à but non lucratif, dispose de 270 lits et places et couvre la plupart des spécialités médicales et chirurgicales. Il dispose d'un accueil d'urgence des patients ouvert 24 heures sur 24[34].
- L'hôpital privé de Marne La Vallée géré par la Ramsay Santé est également situé dans la commune.
Sports[35]
- Un Centre équestre municipal
- Le Parc des sports des Maisons Rouges avec un terrain synthétique pour le football et le rugby
- Un boulodrome au Square De Lattre de Tassigny
- La salle Salle René Decroix pour le Taï-chi-chuan, Karaté, Judo, Gymnastique adulte (fitness, renforcement musculaire, step…)
- Le Tennis Club de Bry
- Le Gymnase Félix Faure avec 1 salle pour le Badminton, le Volley-ball, l'aero model club, le handball, le tennis de table, et le Sport scolaire
- Le Gymnase Clemenceau avec 2 salles et un terrain extérieur pour le basket-ball, l'escrime, le Tennis de table, La gymnastique sportive aux agrès, et le sport scolaire
Médias
Cultes
- Église Saint-Gervais-Saint-Protais[36].
- Chapelle des Pères Blancs
- Chapelle Saint-Camille
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 43 832 €, ce qui plaçait Bry-sur-Marne au 1 093e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[37].
Emploi
Entreprises et commerces
Le plus gros employeur est l'INA qui a son siège social dans les hauts de Bry-sur-Marne où plus de 1 000 personnes y sont employées.
Les studios de Bry hérités de la SFP, les plus modernes et plus grands studios de cinéma de France avec 8 plateaux de tournage et ateliers répartis sur 13 ha, sont repris par le groupe Transpalux en 2015[38],[39] puis acquis par AXA IM et Guillaume de Menthon en 2023[40].
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
- Passerelle de Bry-sur-Marne
- Château de Bry
- Cimetière de Bry-sur-Marne
- Pont de Bry
- L'hôtel de Malestroit : Situé au 2 grande-rue Charles-de-Gaulle, en face de la mairie, l'hôtel de Malestroit était utilisé comme résidence par Jean de Malestroit (1375-1443), cardinal et chancelier du duc Jean V de Bretagne, à l'occasion de ses voyages à Paris. Le bâtiment abrite aujourd'hui un centre culturel accueillant un conservatoire de musique, des expositions, des concerts et des spectacles[41]. La façade de l'hôtel de Malestroit est classée au titre des Monuments historiques.
- Le pont de Bry-sur-Marne.
- La passerelle de Bry-sur-Marne.
- L'hôtel de Malestroit depuis la grande-rue Charles-de-Gaulle.
Patrimoine culturel
Le Musée Adrien Mentienne
Le Diorama de Louis Daguerre
L'église Saint-Gervais-Saint-Protais de Bry-sur-Marne conserve le seul exemplaire restant des dioramas peints par Louis Daguerre.
L'effet de diorama
La toile peinte par Louis Daguerre (co-inventeur de la photographie et inventeur du daguerréotype) représente un intérieur d'église gothique. Cette œuvre, véritable tableau animé, est surtout exceptionnelle par son système de transparences et par le traitement scientifique des couleurs qui filtrent la lumière.
La toile, peinte sur ses deux faces, une en effet « jour » et l'autre en effet « nuit », se transforme au fur et à mesure de la journée en fonction des variations de la lumière.
Des spécialistes au chevet de l'œuvre
En raison du vieillissement des matériaux et de restaurations inadaptées, le diorama était très fortement dégradé. Sa restauration a été confiée à une équipe de restaurateurs : Dominique Dollé (mandataire), Alain Roche, Ariel Bertrand, Bertrand Bedel de Buzareingues et Sophie Deyrolle, qui ont participé à la restauration de la Galerie des Glaces à Versailles. Jacques Moulin, architecte en chef des Monuments historiques, en a assuré la maîtrise d'œuvre[42]. Grâce à un procédé élaboré sur mesure, l'œuvre a pu retrouver une partie des effets illusionnistes originaux.
Les partenaires du renouveau de Daguerre
L'association bryarde Louis Daguerre, le magicien de l'image est chargée de la collecte des fonds. Elle démarche pour cela tous les partenaires potentiels, publics et privés. Jusqu'à sa dissolution demandée par le Maire Monsieur Spilbauer, son président était l'un des rares daguerréotypistes contemporains.
Francis Olschafskie, chercheur à l'université de Boston, a conçu gracieusement le site de l'association. Une Webcam permet au public de suivre en direct la restauration. Cet expert explique l'engouement américain pour Daguerre:
« Aux États-Unis, l'avènement des nouveaux moyens de photographier a relancé la recherche sur les photographies anciennes ; Le diorama est au cœur de quatre domaines : la photographie, le théâtre, le cinéma et la technologie. »
L'École nationale supérieure Louis-Lumière (Noisy-le-Grand), spécialisée dans le cinéma, va réaliser des documentaires sur la restauration.
Le mécène américain du diorama
La fondation Getty a versé 200 000 dollars (environ 138 000 euros) pour la restauration du diorama de l'église Saint-Gervais-Saint-Protais. La fondation Getty finance dans le monde entier des projets pour la sauvegarde d'œuvres d'art ; elle regroupe d'éminents spécialistes dans le domaine de l'histoire de l'art. Recevoir un versement de cette prestigieuse institution signifie donc que la pièce concernée est de grande qualité et le dossier technique sans faille. Désormais, la restauration du diorama bénéficie donc du label "soutenue par la fondation Getty". Ce sésame devrait ouvrir la porte à d'autres financements.
Afin de les obtenir, la Ville compte bien continuer à appliquer la même recette. En 2007, le maire s'est ainsi rendu à New York, Boston, Rochester et Los Angeles pour plaider la cause du diorama.
La ville peut s'appuyer sur la notoriété de Daguerre aux États-Unis pour trouver de nouveaux mécènes. En effet, au pays des grands studios, le co-inventeur de la photographie avec Niepce, est également considéré comme étant à l'origine du cinéma. L'effet d'animation propre au diorama ne fait que renforcer ce crédit.
Studios d'enregistrement de Bry-sur-Marne
- La commune accueille de mai à juillet 2010 le « Cube », lieu de vie de l'émission de télé-réalité Dilemme diffusée sur W9 et présentée par Faustine Bollaert.
- La série TV Soda diffusée sur M6 puis W9 avec Kev Adams est tournée à Bry-sur-Marne.
- L'émission Les Z'amours diffusée sur France 2 fut enregistrée à Bry-sur-Marne dès ses débuts en 1995 jusqu'en 2015, date à laquelle le plateau de tournage déménage aux Studios de la Montjoie à La Plaine Saint-Denis.
- L'émission de divertissement Vidéo Gag diffusée sur TF1 de 1990 à 2008 et présentée par Bernard Montiel, Alexandre Debanne, Alexandre Delpérier, Olivia Adriaco et Sébastien Folin fut enregistrée à Bry-sur-Marne.
- La première saison du jeu télévisé d'Antenne 2 (devenue depuis France 2), Motus, présenté par Thierry Beccaro, fut enregistrée dans les studios de Bry-sur-Marne entre juillet 1990 et août 1991. Le plateau de tournage a ensuite déménagé au Village de la Communication, à Saint-Ouen.
- Les émissions de divertissement de France 2, Le Plus Grand Cabaret du monde et Les Années bonheur, présentées toutes les deux par Patrick Sébastien furent enregistrées à Bry-sur-Marne, jusqu'en 2015, date à laquelle les plateaux de tournages de ces dernières furent transférés aux Studios du Lendit à La Plaine Saint-Denis.
- Le jeu télévisé de TF1, Le Juste Prix fut enregistré aux studios de Bry de 1988 à 1998 jusqu'à ce que les enregistrements de l'émission déménagent à La Plaine Saint-Denis en 1998.
- Le premier jeu télévisé présenté par Vincent Lagaf', L'Or à l'appel, diffusé sur TF1 du 25 mars 1996 au 27 juin 1997, fut tourné en direct depuis les studios de Bry-sur-Marne.
- La dernière saison du jeu télévisé de Lagaf', Le Bigdil, également diffusé sur TF1, fut enregistrée dans les studios de Bry-sur-Marne, entre septembre 2003 et juillet 2004, date de son arrêt définitif après 1395 épisodes. L'émission fut auparavant tournée dans les Studios 107 de La Plaine Saint-Denis.
- Le jeu télévisé de TF1, Zone rouge, présenté par Jean-Pierre Foucault, fut enregistré dans les studios de Bry-sur-Marne entre janvier 2003 et avril 2005.
- Le jeu télévisé de France 2, Un mot peut en cacher un autre, présenté par Damien Thévenot, fut enregistré aux studios de Bry-sur-Marne entre 2015 et 2016.
Les Studios de Bry cessent ensuite les enregistrements d'émissions télévisées pour devenir des studios entièrement dédiés aux tournages de films et de séries de fiction.
Personnalités liées à la commune
épouse du peintre Pierre Ucciani
tableau de Paul-Désiré Trouillebert
Collection Ucciani-Paris
à Bry-sur-Marne
peinte par Paul-Désiré Trouillebert
photo collection Ucciani-Paris
offert à Hortense Bégard
épouse du peintre Pierre Ucciani
tableau de Paul-Désiré Trouillebert
Collection Ucciani-Paris
- François de Troy (1645-1730), peintre de cour, possédait une maison à Bry.
- Gaëtan Vestris (1729-1808), chorégraphe et danseur, a acheté l'hôtel de Malestroit à Bry en 1794[43]
- Étienne de Silhouette (1709-1767), homme politique français, qui acquiert le château de Bry en 1760 et le fait agrandir[44].
- Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord (1754-1838) fut châtelain de Bry-sur-Marne de 1803 à 1808[45].
- Baron Louis (1755-1837), ministre des finances sous Louis XVIII et Louis-Philippe, y est décédé.
- Louis Daguerre (1787-1851) était un artiste français considéré comme un des inventeurs de la photographie, connu pour l'invention du daguerréotype. Il est mort le 10 juillet 1851 à Bry-sur-Marne.
- Henry Cohen (1806-1880), numismate français, y est décédé.
- Paul-Désiré Trouillebert (1829-1900), peintre de l’école de Barbizon, séjourne fréquemment chez les Bégard (belle famille de Pierre Ucciani) à Bry-sur-Marne.
- Adrien Mentienne (1841-1927), historien et archéologue, maire de Bry-sur-Marne de 1868 à 1881, donna son nom au musée de la ville.
- Pierre Ucciani (1851-1939), peintre, expert et marchand d'art, séjourne jusqu'à son divorce (1892) chez son épouse Hortense Bégard[46],[47] à Bry-sur-Marne.
- Ferdinand Gueldry (1858-1945), peintre français ayant eu son atelier à Bry.
- Paul Pierre Ucciani (1880-1966), magistrat, fils de Pierre Ucciani et neveu de Simon Ucciani (conseiller honoraire à la cour d'appel de Paris), il demeure à Bry-sur-Marne avec sa mère Hortense Bégard[46],[47], il en est Juge de paix suppléant de 1914 à 1918.
- Marie-Renée Ucciani (1883-1963), peintre et sculpteur, passe son enfance chez sa mère Hortense Bégard[46],[47], à Bry-sur-Marne.
- Hermine David (1886-1970), artiste peintre et graveur
- Bernard Schoeller (1929-2020), architecte connu pour les piscines Tournesol, mort à Bry-sur-Marne en 2020.
- Michel Simon (1895-1975), comédien, mort à Bry-sur-Marne en 1975.
- Hervé Bazin (1911-1996), romancier, résida à Bry-sur-Marne de 1967 à 1973[45].
- Jean Valton (1921-1980) était un chansonnier et imitateur français né le 14 juillet 1921 à Bry-sur-Marne.
- Guy Delorme (1929-2005), acteur et cascadeur français, décédé en 2005 à Bry-sur-Marne.
- Marc Raquil (1977-), Athlète, ancien champion du monde du 4x400 mètres a habité a Bry sur Marne[48].
- Zarca (1984-), romancier et titulaire du prix de Flore 2017. Il a grandi dans la commune et l'intrigue de son troisième roman, P'tit monstre, s'y déroule[49].
Héraldique, logotype et devise
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Les armes de Bry-sur-Marne se blasonnent ainsi : Le blason a été créé en 1905 par Ferdinand Corinthe Dandois, peintre verrier et héraldiste de Vincennes . de Vincennes, et adoptées par délibération du Conseil municipal en 1905, présidé par M. Jules FAY-LA-CROIX, Maire de l’époque. À cette période, Bry-sur-Marne était encore une commune rurale, le blason reflète donc cette image. L’écu se divise en quatre parties : En bas à gauche : on retrouve un pont de bois antique, qui rappelle que l’histoire de la commune est liée à la traversée de la Marne. Le mot « Bry » est d’ailleurs un dérivé du mot gaulois « briva » qui veut dire « pont ». On suppose qu’un premier pont a été bâti à Bry durant l’Antiquité. Il faudra ensuite attendre 1830 pour avoir à nouveau un pont. En haut à gauche : c’est une roue à aube qui évoque l’ancien moulin de Bry, présent sur la commune jusqu’en 1859, entre les îles d’amour et du moulin. Ce moulin d’origine médiévale servait à moudre le blé pour obtenir de la farine et donc nourrir les habitants de la commune. En haut à droite : il y a trois épis de blé qui évoquent la vocation primitive, rurale et agricole de la commune. En 1905, Bry était un village rural de 2 700 habitants où l’on cultivait le blé. Au début du 20e siècle, des champs étaient exploités sur le plateau et sur les coteaux de la ville. En bas à droite : on retrouve l’orme multiséculaire de Bry, planté dès le 15e siècle et abattu en 1904. En effet, auparavant, à l’emplacement de la Mairie il y avait une place publique qui comprenait un alignement de plusieurs dizaines d’ormes. L’orme était la fierté de la commune. C’est aussi un symbole de longévité, qui signifie que l’histoire de Bry est ancienne et qu’elle perdurera encore longtemps. Au-dessus du blason, on retrouve une couronne de tours fortifiées qui signifie que ce blason est un blason de ville. Autour de ce dernier, des motifs floraux : des plantes aquatiques sur la gauche qui symbolisent le lien avec la Marne, et des fruits sur la droite qui rappellent que Bry était à l’époque connue pour ses cultures de prunes. En effet, la « bonne de Bry », variété mise au point au 19e siècle, était réputée pour sa saveur, la terre argileuse étant favorable au développement d’arbres fruitiers. Un ouvrage de botanique la cite même comme l’un des plus beaux fruits du 20e siècle. Enfin, en-dessous du blason, on retrouve la devise de la Ville : « Moult viel que Paris » qui signifie : « Plus vieille que Paris ». Cette devise peut s’expliquer par le fait qu’à la fin du 19e siècle, Adrien Mentienne, Maire de l’époque et archéologue à ses heures perdues, venait de mettre au jour à Bry une vaste nécropole gallo-romaine et mérovingienne dont l’ancienneté permit à la modeste commune de Bry de revendiquer des origines séculaires et ainsi de rivaliser avec Paris ! [50]. Sa devise est « Moult viel que Paris »[50]. |
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Voir aussi
Bibliographie
- Fernand Bournon : Notice historique et renseignements administratifs de Bry-sur-Marne
- Bry et Champigny dans les méandres de la Marne / Inventaire général du patrimoine culturel, [Région] Île-de-France ; textes, Isabelle Duhau ; avec la participation de Laurence de Finance ; photographies, Stéphane Asseline ; avec la participation de Christian Décamps et Laurent Kruszyck. - Lyon : Lieux dits, 2007. 128 p. - (Images du patrimoine, (ISSN 0299-1020) ; 247).
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
Notes
- ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- ↑ « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- ↑ « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
- ↑ « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- ↑ "Historique", site officiel de la ville
- 1 2 3 4 "Historique", site officiel de la ville de Bry
- ↑ Bry-sur-Marne, Histoire & Patrimoine, Vincent Roblin, Maury Imprimeur, (ISBN 978-2-7466-4656-8).
- ↑ (Images du patrimoine ;°247). 128 p. (ISBN 2914528418) http://www.lieuxdits.fr/LD/pat_ilefrance31.html
- ↑ « Architecture & Patrimoine », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ Journal Officiel, Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne
- ↑ Décret no 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
- ↑ Décret no 2015-1663 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Champigny-sur-Marne sur Légifrance
- ↑ La liste des 82 communes équipées de machines à voter sur le site de ZDNet.fr
- ↑ « Les maires de Bry-sur-Marne », sur francegenweb.org (consulté le ).
- ↑ Marion Kremp, « Bry-sur-Marne a perdu son ancien maire Etienne Audfray : Maire de 1965 à 1989, Etienne Audfray s’est éteint la semaine dernière. Il laisse ses sculptures et le souvenir d’un maire de conviction », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Étienne Audfray, « Présentation »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF], sur audfray.com (consulté le ).
- ↑ « AUXERRE (Yonne) : démission socialiste. », Le Monde, (lire en ligne) « BRY-SUR-MARNE (Val-de-Marne) : primaire à droite. M. Jacques Lasne (RPR) présentera une liste où l'on retrouve la totalité des élus RPR du conseil municipal sortant contre celle conduite par le maire actuel, M. Etienne Audfray (UDF-CDS). Conseiller général de 1970 à 1982 (sa victoire sur un élu communiste avait fait basculer le département de gauche à droite), M. Lasne ne s'était pas représenté en 1982 pour raisons professionnelles, transmettant ainsi le témoin à M. Audfray. Aujourd'hui il justifie son retour par une dégradation de la situation locale (accélération des constructions, absence de communication et de concertation, installation de neuf cents parcmètres). M. Lasne qualifie sa candidature de " gestion municipale ", lui refusant l'étiquette de " politique ". Le RPR et le CNI lui ont accordé leurs investitures ».
- ↑
- ↑ B.H., « Déjà installés, ils se présentent pour la première fois », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
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- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- ↑ « Qui était Henri Cahn ? », sur cdivirtuel.blogspirit.com (consulté le ).
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- ↑ « Deux langues dès la Sixième - Collège Henri Cahn de Bry-sur-Marne (94) », sur collegehenricahn.blogspirit.com (consulté le ).
- ↑ « Notre section internationale portugais - Collège Henri Cahn de Bry-sur-Marne (94) », sur collegehenricahn.blogspirit.com (consulté le ).
- ↑ « Le Conseil Municipal des Jeunes - Ville de Bry-sur-Marne », sur brysurmarne.fr (consulté le ).
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- ↑ Site officiel de l'établissement de santé http://www.ch-bry.com/
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- ↑ Vincent Roblin, Bry-sur-Marne, histoire et patrimoine, éditeur Maury, 2012. (ISBN 9782746646568).
- ↑ Château de Bry
- 1 2 Site de la ville de Bry-sur-Marne
- 1 2 3 « Hortense Bégard, fabricant bijoutier, 22 rue Michel-le-Comte, 75 Paris », 11 novembre 1896 au 23 juin 1905.
- 1 2 3 « Bégard H. (& Cie), fabricant bijoutier, 22 rue Michel-le-Comte, 75 Paris », 15 juin 1905 au 8 février 1911.
- ↑ Les 400 coups, Libération
- ↑ « P'tit monstre : les aventures ultra-violentes d'un céréales killer », Le Point, 16 février 2017
- 1 2 Banque du Blason