Sarreguemines | |
Casino et pavillon de Geiger. | |
Blason |
Logo |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Moselle (sous-préfecture) |
Arrondissement | Sarreguemines (chef-lieu) |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Sarreguemines Confluences (siège) |
Maire Mandat |
Marc Zingraff 2020-2026 |
Code postal | 57200 |
Code commune | 57631 |
Démographie | |
Gentilé | Sarregueminois |
Population municipale |
20 555 hab. (2020 ) |
Densité | 693 hab./km2 |
Population agglomération |
28 619 hab. (2020) |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 06′ 40″ nord, 7° 04′ 05″ est |
Altitude | 243 m Min. 192 m Max. 293 m |
Superficie | 29,67 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Sarreguemines (partie française) (ville-centre) |
Aire d'attraction | Sarreguemines (partie française) (commune-centre) |
Élections | |
Départementales | Canton de Sarreguemines (bureau centralisateur) |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | sarreguemines.fr |
Sarreguemines (en allemand : Saargemünd , en francique rhénan : Saargemìnn) est une commune française située dans le département de la Moselle, en région administrative Grand Est.
Cette commune se trouve dans la région historique de Lorraine et fait partie du bassin de vie de Moselle-est.
Ville de longue tradition faïencière, elle est au cœur d'une unité urbaine rassemblant sept communes et formant la cinquième agglomération du département avec 28 619 habitants en 2020.
Géographie
Localisation
Sarreguemines, à la frontière franco-allemande, est située au confluent de la Sarre et de la Blies. Cette configuration est confirmée par l’étymologie du lieu : le mot allemand Gemünd signifiant confluence[1] se retrouve également dans le nom allemand de la ville, Saargemünd. Elle fait partie de l’eurodistrict SaarMoselle qui avoisine les 700 000 habitants.
Elle est traversée par le canal des houillères de la Sarre. Le chemin de halage du canal est emprunté par le grand itinéraire cyclable Eurovélo 5 (EV5 Via Romea Francigena de Londres à Rome/Brindisi).
Son agglomération s’étend d'ailleurs de part et d’autre de la frontière. L’aire urbaine compte 45 579 habitants pour sa partie française. Sarreguemines est la cinquième commune la plus peuplée du département de la Moselle après Metz, Thionville, Forbach et Montigny-lès-Metz.
Géologie et relief
Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
Sismicité
Commune située dans une zone 1 de sismicité très faible[2].
Hydrographie et les eaux souterraines
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Sarre, le canal des houillères de la Sarre, la Blies, le ruisseau l'Altwiesenbach, le ruisseau le Strichbach, le ruisseau de Rouhling, le ruisseau de Woustviller, le ruisseau de Folpersviller, le ruisseau de le Buchholz, le ruisseau Itchbach, le ruisseau le Steinbach et le ruisseau Lembach[Carte 1].
La Sarre, d'une longueur totale de 129,2 km, est un affluent de la Moselle et donc un sous-affluent du Rhin, qui coule en Lorraine, en Alsace bossue et dans les Länder allemands de la Sarre (Saarland) et de Rhénanie-Palatinat (Rheinland-Pfalz)[3].
Le Canal des houillères de la Sarre, d'une longueur totale de 65,1 km, prend sa source dans la commune de Grosbliederstroff et se jette dans la Sarre sur la commune, après avoir traversé 24 communes[4].
La Blies, d'une longueur totale de 19,7 km, prend sa source en Allemagne, pénètre dans la commune de Bliesbruck, puis constitue une limite séparative naturelle avec l'Allemagne jusqu'à sa confluence avec la Sarre au droit de Sarreguemines[5].
Le ruisseau l'Altwiesenbach, d'une longueur totale de 11 km, prend sa source dans la commune de Loupershouse et se jette dans la Sarre sur la commune, après avoir traversé sept communes[6].
Le Strichbach, d'une longueur totale de 10,3 km, prend sa source dans la commune de Tenteling et se jette dans l'Altwiesenbach sur la commune, après avoir traversé six communes[7].
La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Sarre, du canal des Houilleres de la Sarre, de la Blies, du ruisseau l'Altwiesenbach et du ruisseau le Strichbach, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité. Ainsi en 2020, dernière année d'évaluation disponible en 2022, l'état écologique du ruisseau l'Altwiesenbach était jugé médiocre (orange)[Carte 2].
Climat
La ville de Sarreguemines bénéficie d'un climat tempéré chaud. Sarreguemines est une ville avec des précipitations importantes. Même pendant le mois le plus sec il y a beaucoup de pluie. La carte climatique de Köppen-Geiger y classe le climat comme étant de type Cfb. Sarreguemines affiche 9,5 °C de température en moyenne sur toute l'année. Il tombe en moyenne 722 mm de pluie par an[8].
Urbanisme
Typologie
Sarreguemines est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sarreguemines (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 7 communes[12] et 28 619 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[13],[14].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarreguemines (partie française), dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (44,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (34,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (29,6 %), forêts (29,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,8 %), prairies (9,5 %), zones agricoles hétérogènes (9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,1 %), cultures permanentes (3,4 %), terres arables (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %), zones humides intérieures (0,3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Lieux-dits, hameaux et écarts
- Welferding : ancienne commune rattachée à Sarreguemines en 1964
- Lotissement du golf
- Himmelsberg
- Beausoleil
- Blauberg (Bloobersch[18] en francique rhénan)
- Quartier de la Forêt
- Sarreguemines-Centre
- Cité des Faïenceries
- Blies
- Allmend
- Neunkirch : ancienne commune rattachée à Sarreguemines en 1964
- Gregersberg
- Palatinat
- Folpersviller : ancienne commune rattachée à Sarreguemines en 1971
Voies de communication et transports
- Fluo Grand Est.
Réseau routier
Sarreguemines est desservie par la route nationale 61, ou RN 61, qui est une route nationale française reliant Phalsbourg à Sarrebruck en Sarre. Elle est aussi reliée par la route nationale 62, ou RN 62, qui est une ancienne route nationale française. Elle a, dans sa dernière version, relié Haguenau à Sarreguemines.
Pistes cyclables
Il existe au départ de la ville des circuits cyclables permettant de longer la Sarre.
Voies ferrées
Nœud ferroviaire, la gare de Sarreguemines est actuellement desservie par des trains express régionaux en direction de Metz (via Béning), Sarrebruck et Strasbourg.
Par le passé, elle disposait aussi de liaisons directes avec Haguenau (1869-1996) par Bitche (1869-2011), Hombourg ou Deux-Ponts (1875-1952) par Bliesbruck (1875-1959), Nancy (1881-1969) ou Sarrebourg (1872-2000) et Sarre-Union (1872-2018) par Hambach (1872-1971) puis Kalhausen, et enfin Thionville (à partir de 1882) par Béning.
Depuis 1997, elle est également desservie par le tram-train transfrontalier Saarbahn.
Toponymie
- Anciennes attestations[19] : nommée pour la première fois dans les chartes de Pépin, duc d'Austrasie, en faveur de l'abbaye d'Echternach en 706; Gaimundas (706) ; Gamundias (706) ; Gamundia (777) ; Guemunde (1248) ; Gemonde (1274) ; Gemönde (1297) ; Guemundia (1301) ; Gemindt, Gemeindt (1380) ; Guemindia (1393) ; Gemont (1471) ; Gemüde (1471) ; Sargemünt (1577) ; Saargemünde (1592) ; Guemunde (1594) ; Sargemund (1606) ; Sargemeingt (1612) ; Gueminde (1616) ; Zerguemine (1632) ; Sar-Gemünd (1636) ; Gemünd an der Sar (1645) ; Sargueminde (1661) ; Sarguemine (1670) ; Sarguemines (1698) ; Zargueminde (1698) ; Zarguemines (1707) ; Zarreguemines (1719) ; Zareguemine (1756) ; Sareguemines (1772).
- Saargemünd en allemand standard et Saargemìnn[18],[20] en francique rhénan.
- De Sarre + ge-münd « embouchure », non pas « de la Sarre », mais « dans la Sarre »[21]. La forme Sarreguemines est probablement une francisation graphique de Saargemìnn, nom dialectal de cette ville. Toponyme similaire Gemünd (Rhénanie).
Histoire
La première mention de Sarreguemines dans un texte officiel remonte à 777, il s'agit d'un testament dans lequel le prêtre Fulrad, conseiller de Pépin le Bref et Charlemagne, cède ses possessions de la région - dont celles de Sarreguemines (Gaimundia en latin) - à l'abbaye de Saint-Denis. Du Xe siècle jusqu'au XIIe siècle, le bourg de Sarreguemines se développe autour d'un château fort construit afin de surveiller le confluent entre la Sarre et la Blies. En 1297, Sarreguemines passa du duché de Deux-Ponts au duché de Lorraine, État souverain du Saint-Empire romain germanique.
En 1698, la ville devint le chef-lieu du bailliage d'Allemagne. Les habitants y parlaient (et y parlent encore pour un certain nombre) un dialecte germanique, le Francique lorrain ou « platt ».
En vertu du traité de Vienne de 1735-1738, le duché fut attribué à Stanislas Leszczynski, roi détrôné de Pologne (anciennement réfugié dans le duché de Deux-Ponts voisin) mais beau-père du roi Louis XV de France qui résidait dans le sud du duché, à Lunéville, à Nancy ou à Commercy. Souverain fantoche, il avait cédé la réalité du pouvoir à son gendre qui fit nommer intendant de Lorraine Antoine-Martin Chaumont de La Galaizière. Stanislas soutint ce dernier, malgré son impopularité due notamment à un lourd plan fiscal. C'est également à cette époque que furent prises les premières mesures réprimant l'usage du Platt lorrain, langue commune d'origine germanique. Les actes officiels du bailliage d'Allemagne étaient rédigés en allemand jusqu'à ce que, en 1748, une ordonnance inspirée par le chancelier, impose le français dans les actes officiels en Lorraine.
A la mort de Stanislas en 1766, le duché de Lorraine devint français. En 1790, pendant la Révolution française, la région de Sarreguemines fut rattachée au département de la Moselle dont le chef-lieu était Metz.
Également député, le maire Nicolas François Blaux, fut le véritable artisan du rattachement du comté de Sarrewerden à la France. Il fut de ceux qui incitèrent les sujets des ducs de Nassau-Weilburg à demander leur rattachement à la République française et la formation d'un district unique relié au district lorrain de Bitche. Cependant, les habitants de l'ex-comté, majoritairement protestants, gênés de se retrouver dans un département à majorité catholique; demandèrent à être rattachés au Bas-Rhin ce qui leur fut accordé le . Mais contrairement à ce qu'affirmait M. Blaux, les habitants du comté, étaient en 1793, finalement pas très fixés sur le département auquel ils souhaitaient appartenir. Plusieurs communes ont même administrativement essayé en vain de quitter le Bas-Rhin[22].
Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, la ville de Sarreguemines est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918. En 1871, la commune de Sarreguemines devient le siège de l'arrondissement de Sarreguemines, un arrondissement du district de Lorraine, au sein de l'Alsace-Lorraine, dont la capitale est Strasbourg. Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les Mosellans combattent dans l'armée impériale allemande. Beaucoup tombèrent sur les différents champs de bataille européens. Les Mosellans accueillent avec joie la fin des hostilités et le retour de la paix. « Saargemünd » redevient Sarreguemines en 1918.
La Seconde Guerre mondiale et le drame de l'annexion par le Troisième Reich marqueront longtemps les esprits. La commune, rebaptisée « Saargemünd », redevint le siège de l'arrondissement de Sarreguemines, mais cette fois au sein du Gau Westmark, dont la capitale est Sarrebruck. À partir de 1942, les jeunes conscrits furent incorporés de force dans les armées allemandes et souvent envoyés sur le front de l'Est. Un grand nombre disparut. Entre 1942 et 1944, les bombardements américains n'épargnèrent pas les civils, endommageant gravement la ville. La commune ne fut libérée qu'en par la 7e armée américaine du général Patch.
Georges Pierrot, prisonnier politique lorrain dans les Sudètes [23] a été admis parmi les 4281 Justes parmi les nations de France[24] pour avoir sauvé des personnes juives persécutées par le régime nazi et le gouvernement de Vichy.
La création d'équipements structurants, de zones industrielles modernes, et le développement des échanges avec Sarrebruck, ont permis à Sarreguemines de s'affirmer comme le principal centre tertiaire de l'est-mosellan[25].
Rattachements historiques
- 777 - 843: Royaumes francs
- 843 - 962 : Francie médiane
- 962 - 1766 : Saint-Empire romain germanique
- 1766-1871 : France
- 1871-1918 : Empire allemand
- 1918-1940 : France
- 1940-1944: Reich allemand
- depuis 1945 : France
Politique et administration
Sarreguemines a absorbé quelques communes voisines au cours de son histoire : Neunkirch-lès-Sarreguemines et Welferding en 1964, ainsi que Folpersviller en 1971.
Sarreguemines est chef-lieu du canton de Sarreguemines.
Tendances politiques et résultats
Avec 57,94% des voix au 2e tour de l'élection présidentielle à Sarreguemines, Emmanuel Macron (En Marche!) arrive à la première place. Marine Le Pen (Front national) recueille 42,06% des voix. Parmi les électeurs, 7,06% ont glissé un bulletin blanc dans l'urne[26].
Liste des maires
Budget et fiscalité 2021
En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[28] :
- total des produits de fonctionnement : 28 470 000 €, soit 1 337 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 26 515 000 €, soit 1 245 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 9 200 000 €, soit 432 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 7 882 000 €, soit 368 € par habitant ;
- endettement : 26 467 000 €, soit 1 247 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 18,10 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 36,89 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 47,70 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 820 €[29].
Jumelage
Gmünd (Basse-Autriche) (Autriche)
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[30] - [Note 3].
En 2020, la commune comptait 20 555 habitants[Note 4], en diminution de 4,2 % par rapport à 2014 (Moselle : +0,38 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,7 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (33,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (28,2 %) est supérieur au taux départemental (26,2 %).
En 2018, la commune comptait 10 104 hommes pour 10 716 femmes, soit un taux de 51,47 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,08 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Manifestations culturelles et festivités
- Mir redde Platt, festival linguistique annuel depuis 1999.
- Les Gardiens du Rêve, association de jeux de société, de figurines et de rôle depuis 1987[34].
- La médiathèque communautaire : depuis 2007, Sarreguemines dispose d'une médiathèque de 4 100 m2[35]. Elle est située au cœur du centre-ville, dans la galerie commerciale Carré Louvain. Elle fait partie du réseau de lecture publique de la communauté d'agglomération Sarreguemines Confluences.
Enseignement
Établissements d'enseignements[36] :
- lycée technique Henri-Nominé
- lycée Jean-de-Pange
- lycée Simon-Lazard
- institution Sainte-Chrétienne
- collège Fulrad
- collège du Himmelsberg
- collège Jean-Jaurès
- Deux écoles ABCM-Zweisprachigkeit
Enseignement supérieur
Sarreguemines accueille un Institut de formation en soins infirmiers et un des trois sites de l'IUT de Moselle-Est, composante de l'Université de Lorraine. Le site de Sarreguemines propose deux BUT, Gestion logistique et transports (GLT) et Gestion administrative et commerciale (GACO) ainsi que deux DU et quatre licences professionnelles. La ville accueille également une licence de Droit et une licence professionnelle « assistant en gestion et logistique transfrontalière » permettant d’acquérir une formation supérieure très spécifique.
- IUT de Moselle-Est, site de Sarreguemines
- Faculté de droit, économie et administration de Metz, antenne de Sarreguemines
- Institut universitaire de formation des maîtres (IUFM)
- Institut de formation des soins infirmiers
Sports et loisirs
- Le Sarreguemines Triathlon Club (STC), fondé en 1989[37]
- L'AS Sarreguemines Tennis, créé en 1919
- Le club de lutte de Sarreguemines, fondé en 1896 est l'un des plus anciens de France[38].
- Le Sarreguemines Football Club (SFC) (club doyen fondé en 1919), le RC Sarreguemines et l’AS Neunkirch sont les clubs de la cité, accompagnés de l’AS Welferding, le CS Folpersviller
- Golf de Sarreguemines
- Aéroclub Espoir aéronautique de Sarreguemines, route de Deux-Ponts ; activité : vol moteur et vol à voile
- La 1re compagnie de tir à l'arc de Sarreguemines, fondée en 1969 par Victor Thisse
- L'espoir rugby club Sarreguemines, fondé en
- L'ASSA (Athlé Sports Sarreguemines Arrondissements), club d'athlétisme de la ville, récompensé à de multiples reprises par la fédération française d'athlétisme[39]
- L'asso Gym Sarreguemines, fondée en 1909. Elle propose la pratique de trois disciplines olympique : la Gymnastique Artistique Féminine, la Gymnastique Artistique Masculine et le Trampoline[40]
Sarreguemines devient célèbre dans le monde entier à l'occasion de l'UEFA EURO 2016 et des Jeux olympiques d'été de 2016, grâce à un habitant qui expose un drapeau français marqué du nom de la ville lors de très nombreuses épreuves[41].
Économie
Commerces
- Commerces[42] et services[43].
- Constructions mécaniques.
- Serrurerie.
- Pneumatiques (siège français de Continental AG et une usine de fabrication de pneumatiques).
Industrie de la faïence
Implantée à Sarreguemines depuis la fin du XVIIIe siècle, l'industrie faïencière acquiert ses lettres de noblesse avec Paul Utzschneider et Paul de Geiger qui propulsent la manufacture au tout premier rang : dès le XIXe siècle, Sarreguemines propose dans le monde entier une vaste collection de faïences, vases, cache-pot, fresques murales, cheminées…
Après cette période d'expansion, la faïencerie de Sarreguemines réduit son activité et finit par disparaitre en .
Méthanisation
Depuis 2015, l'unité de méthanisation Méthavos1 valorise le biogaz issu de la fermentation anaérobie des déchets verts en provenance des déchèteries de Moselle-Est[44] et d'Alsace Bossue[45]. Elle fonctionne en voie sèche[46] et injecte du biométhane dans le réseau de distribution de gaz naturel[44].
Tourisme
La ville étant située à la frontière franco-allemande, les touristes de passage ont la possibilité de découvrir à la fois son patrimoine mais également de partir à la découverte de ses voisins allemands grâce à une liaison en Tram vers Sarrebruck.
- À la jonction de la Sarre et de la Blies, Sarreguemines offre différentes infrastructures fluviales dont un port de plaisance qui a permis à la Cité des faïenciers d’être la première ville de Moselle à être labellisée « Pavillon Bleu d’Europe ». Une base nautique, située à 1 km du centre-ville de Sarreguemines, offre une capacité de 36 places. Depuis 2009, Sarreguemines est labellisée ville aux 4 fleurs.
- Partenaire de l’opération Terroir et Patrimoine, la ville de Sarreguemines met à l’honneur ses restaurateurs et artisans locaux et leurs savoir-faire lors de manifestations gastronomiques.
Sarreguemines s'est fait connaître grâce à son industrie faïencière dont il subsiste quelques vestiges pouvant être découverts dans les musées de la ville :
- Le musée des Techniques Faïencières expose les machines d’époque servant à fabriquer de la faïence, et sur le prolongement du site, le Jardin des Faïenciers met les ruines d’antan en scène à travers fleurs, arbres et rivières.
- Le Musée de la Faïence, qui abrite un Jardin d’Hiver, expose une collection d’objets en faïence, grès et porcelaine allant de la vaisselle au four à faïence en passant par les panneaux décoratifs.
- La découverte de ces deux sites permet d’avoir une vision globale des différentes étapes de la fabrication jusqu'à l’objet totalement terminé.
- D’autres sites existent comme le Casino des Faïenceries (ancien lieu de détente des ouvriers de la manufacture) ou encore l’ancien four à faïence situé à l’arrière de l’hôtel de ville.
L’Office de tourisme a également mis en place plusieurs circuits intra-urbains permettant de suivre l’évolution de la ville à travers les époques, les styles, l’architecture et les hommes.
La ville offre de larges possibilités d'hôtellerie et de restauration[47].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Édifices religieux
- Église Saint-Nicolas[48] 1765 offerte par le roi Stanislas : autels XVIIIe siècle, toiles XVIIIe siècle[49] - [50] - [51], pietà XVIIe siècle.
- Orgue de tribune[52]
- Église du Sacré-Cœur, architecture gothique primitive[53].
- Chapelle Notre-Dame de Beausoleil[54], XXe siècle, quartier Beausoleil.
- Église Notre-Dame du-Perpétuel-Secours du couvent des Rédemptoristes du Blauberg[55] XXe siècle : Christ de pitié XVIe siècle[56].
- Église Sainte-Barbe de Folpersviller[57], architecture romane.
- Église Saint-Denis de Neunkirch[58], 1850 ; clocher XIVe siècle ; bas-relief de la Trinité XVIe siècle.
- Église Saint-Walfried de Welferding[59], XVIIIe siècle ; clocher roman.
- jouxtant l’église du Sacré-Cœur.
- Chapelle du centre hospitalier spécialisé.
- Chapelle de l'ancien hôpital du Blauberg.
- Ancienne église Sainte-Barbe de Folpersviller[60], dont il ne reste que le chœur
- Église luthérienne, rue Georges-V (EPCAAL)[61] construite entre 1897 et 1898 dans le style romano-gothique[62].
- Synagogue construite en 1959 avec un orgue[63], en remplacement de l’ancienne synagogue de style orientalisant (1860-1862) rasée par les nazis en 1942. Rue de la Chapelle: plaque marquant l’emplacement de la précédente synagogue[64].
- Église néo-apostolique rue Théodoric.
- Église évangélique rue des Frères-Paulin.
- Mosquée Turque, impasse Nicolas Rohr[65].
- Cimetière israélite, rue des Bosquets, construit en 1901[66].
- Monument aux morts[67] : Conflits commémorés : Guerre de 1939-1945.
- Église Saint-Nicolas.
- Église du Sacré-Cœur.
- Église Notre-Dame, quartier Beausoleil.
- Église Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours du Blauberg.
- Église Sainte-Barbe de Folpersviller.
- Église Saint-Denis de Neunkirch.
- Église Saint-Walfried de Welferding.
- Chapelle Saint-Jean.
- Chapelle du centre hospitalier spécialisé.
- Chapelle de l'ancien hôpital du Parc.
- Chapelle Sainte-Barbe de Folpersviller.
- Église luthérienne.
- Synagogue.
- Église Néo-apostolique.
- Le cimetière israélite.
Édifices civils
- Vestiges gallo-romains : villa-palais, tuiles.
- Ruines du château XIIe siècle : deux tours, une porte, surplombant le centre-ville.
- Le Casino au bord de l’eau[68], espace culturel avec un théâtre (1878).
- Parc municipal créé vers 1895.
- Les cités ouvrières (1888 et 1927).
- Palais de justice construit sous l'époque allemande (1903).
- Le parc de l’hôpital (1903).
- Château Utzschneider à Neunkirch, 1906.
- Ancien Casino de la Faïencerie : casino, décors extérieurs en faïence, pavillon Geiger[69].
- Kiosque à musique[70].
- Prison construite sous l'époque allemande (1903)
- Le four, unique rescapé de son type en Europe, à côté de la mairie.
- Les ruines du complexe industriel SESA et, juste à côté, les anciennes casernes, qui constituent aujourd’hui le lycée professionnel hôtelier et le collège Fulrad.
Musées et jardin sur la faïence
- Le musée de la Faïence[71], installé dans les anciens appartements de Paul de Geiger, directeur des Faïenceries entre 1871 et 1914, et le circuit de la faïence.
- Le moulin de la Blies - Musée des techniques faïencières[72] : collection de machines et d'outils présentée de façon didactique pour appréhender le processus de fabrication de la faïence ; l’ampleur et l’originalité du lieu en font un musée unique en Europe. Exposition de la donation France et Wolfgang Kermer à la Ville de Sarreguemines « Céramique française 1970–2000 »[73]. « Sarreguemines, haut lieu de la faïence, à la frontière de la France et de l'Allemagne, s'est imposée et le couple profite des vingt ans du Moulin de la Blies pour révéler au public leur donation, une centaine de pièces et presque autant de céramistes, qui dresse un panorama inédit et personnel de la céramique en France entre 1970 et 2000. »[74]
- Le jardin des Faïenciers[75] : jardin paysager contemporain dessiné par l'architecte Philippe Niez. Le jardin fait partie du réseau transfrontalier de jardins nommé Jardins sans limites.
- Monument aux morts
- Le château Utzschneider
- Le tribunal judiciaire
- Musée de la Faïence, Le Jardin d’hiver
Personnalités de la commune
Personnalités nées à Sarreguemines
- Jean-Pierre Bachasson, comte de Montalivet (Sarreguemines, 1766 - Saint-Bouize, 1823), ministre de l’Intérieur sous le Premier Empire français[Note 5].
- Georges Bangofsky (Sarreguemines, - Nancy, ), élève de l'École de Mars en 1794, enrôlé volontaire en 1798, participe aux principales campagnes de l'armée française jusqu'au , date de sa mise à la retraite pour blessures[76].
- Virgile Schneider (Sarreguemines, 1779 - Paris, 1847), général et homme politique français.
- Camille Crémer (Sarreguemines, 1840 - Paris, 1876), général français.
- Hugo Karl (Sarreguemines, 1878 - Berlin, 1944) général de brigade allemand[77].
- Maximilian von Jaunez (Sarreguemines, 1873 - Sarreguemines, 1947), député protestataire lorrain au Reichstag.
- Eberhard Hanfstaengl (Sarreguemines, 1886 - Munich, 1973), historien de l'art allemand.
- Henri Nominé (1892-1972), homme politique, maire.
- Hans Traut (Sarreguemines, 1895 - Darmstadt, 1974) général de division allemand.
- Georg Eißer (Sarreguemines, 1898 - Tübingen, 1964), juriste allemand.
- Anton Johann Huppertz (Sarreguemines, 1900 - Marostica, 1945), scénariste et réalisateur allemand.
- Marianne Oswald (Sarreguemines, 1901 - Limeil-Brévannes, 1985), chanteuse et actrice française.
- Karl Ullrich (Sarreguemines, 1910 - Bad Reichenhall, 1996), officier supérieur allemand.
- Henri Hiegel (Sarreguemines, 1910 - Sarreguemines, 2001) historien de la Moselle.
- Eugen-Ludwig Zweigart (Sarreguemines, 1914 - Le Cambaux, 1944), as de l’aviation allemande.
- Jean-Marie Rausch (Sarreguemines, le ), homme politique français, maire de Metz de 1971 à 2008.
- Jean-Marie Mayeur (Sarreguemines, le -Paris, le ), historien, professeur d'histoire contemporaine à La Sorbonne (Université Paris-IV)
- Roland Minnerath, (Sarreguemines, 1946) évêque français, archevêque émérite de Dijon.
- Jean-Paul Potonet (Sarreguemines, 1946), réalisateur français
- Jean Michel Massing (Sarreguemines, 1948), historien de l'art français.
- Céleste Lett (Sarreguemines, le ), homme politique français, maire de Sarreguemines de 2001 à 2020.
- Michel Roth (Sarreguemines, le ), cuisinier français, exerçant actuellement au Ritz.
- Fabrice Hergott (Sarreguemines, le ), conservateur de musée, directeur du Musée d'art moderne de Paris.
- Éric Hassli (Sarreguemines, le ), footballeur professionnel français.
- Matthieu Sprick (Sarreguemines, le ), coureur cycliste français.
- Yannick Szczepaniak (Sarreguemines, le ), lutteur français et médaillé olympique.
- Johan Guilbert (Sarreguemines, le ), joueur de poker professionnel.
- Cédric Tousch (Sarreguemines, le ), boxeur professionnel français[78].
- Aurélie Muller (Sarreguemines, le ), nageuse licenciée au CN Sarreguemines.
- Erza Muqoli (Sarreguemines, le ), chanteuse en carrière solo, ancienne membre du groupe musical Kids United (UNICEF).
Personnalités liées à Sarreguemines
- Louis Verdet (1744-1819), homme d'église, député aux États généraux.
- Nicolas François Blaux (1729-1822), maire de Sarreguemines.
- Alfred Döblin, né à Stettin en 1878, médecin et écrivain allemand, auteur du roman Berlin Alexanderplatz ; il séjourne à Sarreguemines où il est médecin à l'hôpital militaire pendant la Première Guerre mondiale. Il meurt après une longue maladie à Freiburg/Breisgau le .
- Simon Lazard, né à Frauenberg, fondateur de la banque Lazard[79].
- Wolfgang Kermer, né en 1935 à Neunkirchen (Sarre), historien de l'art allemand, professeur et ancien recteur de la Staatliche Akademie der Bildenden Künste Stuttgart, donateur à la Ville de Sarreguemines.
- France Kermer, née en 1945 à Douvres (Ain), artiste plasticienne française, enseignante en arts plastiques et auteure, donatrice à la Ville de Sarreguemines.
- Marianne Haas-Heckel, née à Sarreguemines en 1946, auteure de quelques ouvrages linguistiques concernant la commune et ses environs.
Héraldique
Blason | Parti d’or, à la croix de Lorraine de gueule, et de gueules à l’alérion d’argent[80]. |
|
---|---|---|
Détails |
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- ↑ La « rue du Comte de Montalivet » est nommée en son honneur.
- Cartes
- ↑ « Réseau hydrographique de Sarreguemines » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- ↑ « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
Site de l'Insee
Autres sites
- ↑ À la croisé des chemins sur sarreguemines.fr
- ↑ Dossier départemental des risques majeurs
- ↑ Sandre, « la Sarre »
- ↑ Sandre, « le canal des houillères de la Sarre »
- ↑ Sandre, « la Blies »
- ↑ Sandre, « le ruisseau l'Altwiesenbach »
- ↑ Sandre, « le ruisseau le Strichbach »
- ↑ « Climat Sarreguemines: Diagramme climatique, Courbe de température, Table climatique pour Sarreguemines - Climate-Data.org », sur fr.climate-data.org (consulté le ).
- ↑ « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- ↑ « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Unité urbaine 2020 de Sarreguemines (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- ↑ « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- ↑ Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sarreguemines (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- 1 2 Geoplatt
- ↑ Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868.
- ↑ Hervé Atamaniuk, Marianne Haas et Marielle Rispail, Le Platt lorrain pour les Nuls : Guide de conversation, First, , 352 p. (ISBN 9782754036061), p. 16.
- ↑ Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre.
- ↑ Jean-Louis Masson, Histoire administrative de la Lorraine, des provinces aux départements.
- ↑ Georges Pierrot.
- ↑ Sarreguemines en 1939-1945
- ↑ « Une longue histoire » sur sarreguemines.fr.
- ↑ « Sarreguemines (57200) : Résultats de l'élection présidentielle 2017 », sur LExpress.fr (consulté le ).
- ↑ « LES MAIRES DE SARREGUEMINES DE LA REVOLUTION A 1871 », sur www.sarreguemines.fr (consulté le ).
- ↑ Les comptes de la commune
- ↑ Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Moselle (57) », (consulté le ).
- ↑ « Les Gardiens du Rêve - Portail », sur gardiensdureve.forumactif.org (consulté le ).
- ↑ « Panorama de la Médiathèque ».
- ↑ Établissements d'enseignements
- ↑ « Sarreguemines Triathlon Club (Moselle) », sur sarregueminestri.free.fr (consulté le ).
- ↑ « Lutte. Sarreguemines, une lutte de tous les instants », sur www.republicain-lorrain.fr (consulté le )
- ↑ (en) « Athlétisme Sarreguemines Sarrebourg Arrondissements (ASSA) », sur assa.athle.com (consulté le ).
- ↑ « ASSO GYM SARREGUEMINES », sur e-monsite.com (consulté le ).
- ↑ « JO-2016 : Sarreguemines en mondovision » (consulté le ).
- ↑ Commerces
- ↑ Le cadre de vie des Territoires : Commerces et services
- 1 2 Pascale Braun, « Méthavos convertit les déchets verts en gaz naturel », sur usinenouvelle.com, (consulté le ).
- ↑ Les Dernières Nouvelles d'Alsace, en date du samedi 9 septembre 2017. Voir l'article page 14.
- ↑ « Quand le biogaz croise la route des travaux publics », sur republicain-lorrain.fr, (consulté le ).
- ↑ Annuaires
- ↑ Sarreguemines : église Saint-Nicolas
- ↑ Notice no PM57000341, base Palissy, ministère français de la Culture Tableau, cadre : la Descente de Croix
- ↑ Notice no PM57000339, base Palissy, ministère français de la Culture Tableau, cadre : saint Antoine-de-Padoue et les enfants
- ↑ Notice no PM57000337, base Palissy, ministère français de la Culture Tableau, cadre : la Résurrection
- ↑ « Orgue de tribune, vue générale », notice no AP22NU05973, base Mémoire, ministère français de la Culture
- ↑ Sarreguemines : église du Sacré-Cœur
- ↑ Sarreguemines : chapelle Notre-Dame de Beausoleil
- ↑ Sarreguemines : Sanctuaire marial du Blauberg
- ↑ Notice no PM57000344, base Palissy, ministère français de la Culture Statue : Christ aux liens dit bon-Dieu de Pitié
- ↑ Sarreguemines : église Sainte-Barbe de Folpersviller
- ↑ Sarreguemines : église Saint-Denis de Neunkirch
- ↑ Sarreguemines : église Saint-Walfried de Welferding
- ↑ Sarreguemines : Ancienne église Sainte-Barbe de Folpersviller
- ↑ Sarreguemines, paroisse luthérienne
- ↑ Sarreguemines : l'église luthérienne
- ↑ Inauguration de la synagogue de Sarreguemines
- ↑ Les Juifs dans la région de Sarreguemines
- ↑ mosquée de l’association franco-Turque
- ↑ Cimetière israélite
- ↑ Monument aux morts
- ↑ « Pavillon Geiger », notice no ARR93_20098300100, base Mémoire, ministère français de la Culture
- ↑ « Casino de la Faïencerie », notice no PA57000017, base Mérimée, ministère français de la Culture
- ↑ « Kiosque », notice no AP12R040227, base Mémoire, ministère français de la Culture
- ↑ Présentation du musée sur sarreguemines-museum.eu.
- ↑ Présentation du moulin sur sarreguemines-museum.eu.
- ↑ Céramique française 1970–2000: Donation France et Wolfgang Kermer, Sarreguemines, Editions Musées de Sarreguemines, 2018, (ISBN 978-2-91375-924-4).
- ↑ A.-C.M., « Céramique française (1970-2000) : Donation France et Wolfgang Kermer », La Revue de la Céramique et du Verre, no 223, , p. 71 (ISSN 0294-202X).
- ↑ Présentation du jardin sur sarreguemines-museum.eu.
- ↑ Alexandre de Roche Du Teilloy, Les Étapes de Georges Bangofsky, officier lorrain : extraits de son journal de campagne (1797-1815) (lire en ligne).
- ↑ Biographie d'Hugo Karl.
- ↑ Cédric Tousch sur siamfightmag.com.
- ↑ Simon Lazard : un lycée porte son nom à Sarreguemines.
- ↑ [PDF]L'histoire des armoiries de Sarreguemines
Voir aussi
Bibliographie
- Robert Doegé (1910-1978), « 2000 Jahre Sarregueminer Geschichte » Histoire de Sarreguemines écrite en dialecte local : le « platt », Éditions Pierron, 1979, 392 p.
- Le Petit Glaneur : journal littéraire, commercial, etc, Sarreguemines (BNF 32836463)
- Nous parlions ainsi ! : petit recueil des locutions, expressions, dictons, sentences, adages et proverbes utilisés à Sarreguemines et ses environs, 1994 (ISBN 9782950840905)
- Zapp, Histoire du parler sarregueminois, Confluence, 1997 (OCLC 163754078)
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
- Liste des communes de la Moselle
- Liste des anciennes communes de la Moselle
- Guerre des paysans en Alsace et en Lorraine (1525)
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Site de la mairie
- Site de l'office de tourisme
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine, et service de l'inventaire général de la Région