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Arielle Dombasle
Description de cette image, également commentée ci-après
Arielle Dombasle photographiée en 2006 par le studio Harcourt.
Nom de naissance Arielle Laure Maxime Sonnery[1]
Surnom Arielle Dombasle
Naissance
Hartford, Connecticut (États-Unis)
Nationalité Drapeau de la France Française
Drapeau des États-Unis Américaine
Profession Actrice
Chanteuse
Réalisatrice
Scénariste
Meneuse de revue
Films notables Amazone
Pauline à la plage
L’Ennui
Un Indien dans la ville
Astérix et Obélix contre César
Lovely Rita, sainte patronne des cas désespérés
Alien Crystal Palace
Site internet www.arielle-dombasle.com

Arielle Dombasle est une actrice, chanteuse, réalisatrice, scénariste et meneuse de revue franco-américaine née le à Hartford (Connecticut).

Elle se fait connaître du public français grâce aux films d'Éric Rohmer (Perceval le Gallois, Pauline à la plage), des séries télévisées comme Miami Vice ou Lace, ou encore des films grand public comme Un Indien dans la ville (1994) ou Astérix et Obélix contre César (1999). Elle a travaillé sous la direction de cinéastes aussi divers qu'Alain Robbe-Grillet (La Belle Captive), Werner Schroeter (Deux), Philippe de Broca (Amazone), Roman Polanski (Tess), Jean-Pierre Mocky (Crédit pour tous) ou Raoul Ruiz (Les Âmes fortes).

À partir de l'an 2000, Arielle Dombasle entame une carrière de chanteuse avec l'album Liberta, suivi en 2002 d’Extase (tous deux disques d'or) puis, en 2004, d’Amor Amor (disque de platine) suivi de l'album C'est si bon en 2006 et Glamour à mort en 2009 tous deux disques d'or.

Mariée à Bernard-Henri Lévy depuis 1993, elle joue sous la direction de celui-ci dans la pièce Le Jugement dernier en 1992, puis dans le film Le Jour et la Nuit en 1997.

Elle a également réalisé plusieurs films dont Alien Crystal Palace (2018).

Biographie

Enfance, famille et formation

Extrait de l'acte de naissance
d'Arielle Sonnery.

Arielle Laure Maxime Sonnery[1], dite Arielle Dombasle, est née le - ce qui reste contesté par une unique source[2] - à Hartford dans le Connecticut[3],[4],[alpha 1],[alpha 2],[7].

Franco-américaine[8], elle est la troisième enfant (après un fils Gilbert né en 1951 et une fille morte à sa naissance) de Jean-Louis-Melchior Sonnery, dit Sonnery de Fromental[9], fils d'un industriel lyonnais[alpha 3], archéologue et collectionneur d'art précolombien, et de Francion Garreau-Dombasle[10].

Son grand-père maternel, Maurice Garreau-Dombasle[11], est consul de France à Calcutta (Empire des Indes) dans les années 1920. Il y épouse en secondes noces en 1926 Germaine-Alice Masset dite Man'ha Garreau-Dombasle (1898-1999)[12], écrivain et poète, qui s'initie à la culture indienne durant les cinq ans passés au consulat de Calcutta. Elle traduit en français Les Amours de Radha et de Krishna de Rabindranath Tagore. Elle a également traduit en français le roman Fahrenheit 451 de l'écrivain de science-fiction Ray Bradbury, auquel elle était très liée. Bradbury lui a dédié son roman The Halloween Tree (1972). Elle était l'amie de nombreux artistes, dont Paul Claudel, Octavio Paz, Benjamin Peret, Rufino Tamayo, Marie Laurencin ou Tamara de Lempicka.

Par la suite attaché commercial à l’ambassade française à Washington, Maurice est le premier diplomate français aux États-Unis à rejoindre le général de Gaulle exilé à Londres en 1940. Conseiller du général, il fonde la représentation de la France libre aux États-Unis la même année[13] et est ensuite le représentant spécial du général de Gaulle en Amérique latine, délégué du gouvernement provisoire d’Alger puis envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire au Mexique du au .

Arielle Dombasle passe son enfance au Mexique, à New York, à Lyon et dans le sud de la France[14]. Enfant, elle fait deux voyages de Mexico à Paris en 1955 et 1957[15] et réside au château de Chaintré près de Mâcon, propriété de ses grands-parents paternels depuis 1906[16]. Après avoir perdu leur mère, âgée de 34 ans[10],[alpha 4], en 1964, elle et son frère aîné Gilbert sont élevés par leur grand-mère maternelle dans le Midi de la France durant un an[17]. Arielle entre à l’École supérieure de danse de Cannes Rosella Hightower. Les deux enfants rejoignent ensuite leur père et sa nouvelle épouse, Laurence de Chazournes, au Mexique[10]. Arielle pratique la danse classique et le théâtre dans une petite troupe qu'elle a montée à Mexico. En 1976, elle se rend à Paris pour suivre des cours de danse et de chant au Conservatoire international de musique de Paris[6],[18] ainsi que des cours d'art dramatique et de comédie d'abord au cours Simon, puis chez Andréas Voutsinas. Elle fréquente Le Palace et y rencontre ceux qui resteront ses amis tels le chausseur Christian Louboutin, le décorateur Vincent Darré, le mannequin Farida Khelfa, ou le duo de photographes Pierre et Gilles[6],[alpha 5].

Carrière

Théâtre, cinéma et télévision

Arielle Dombasle apparaît, en 1979, dans un premier rôle au théâtre dans La Petite Catherine de Heilbronn de Heinrich von Kleist, mis en scène par Éric Rohmer au théâtre des Amandiers de Nanterre, où sa prestation est saluée, notamment par François Truffaut, qui écrit à propos d'elle : « La voix, les mouvements, les gestes, les regards, j'ai tout admiré dans votre création dans le spectacle de Kleist. […] Je voulais vous dire que vous êtes bien, très bien, quelqu'un de rare et de beau »[19].

Égérie d'Éric Rohmer, elle se fait connaître au cinéma en France avec Perceval le Gallois en 1979, et Le Beau Mariage en 1981. C'est également en 1981 qu'elle s'essaye au style érotique dans Les Fruits de la passion, film franco-japonais de Shūji Terayama avec Klaus Kinski et Isabelle Illiers. Mais c'est surtout le succès de Pauline à la plage, en 1982, qui lui donne sa notoriété auprès du public français. Toujours fidèle à Rohmer, elle joue dans L'Arbre, le Maire et la Médiathèque en 1993, et Les Rendez-vous de Paris en 1995. Elle mène parallèlement une carrière aux États-Unis ou en Angleterre. Elle se fait notamment remarquer dans Sins aux côtés de Joan Collins où elle est qualifiée d'« éblouissante » par Judy Flander[20] et joue également dans des séries télévisées américaines comme Miami Vice ou Lace. C'est notamment par ce biais qu'elle se fait connaître en France.

Elle joue sous la direction des cinéastes les plus différents, notamment avec Roman Polanski dans Tess (1979) ; Shuji Terayama dans Les Fruits de la passion[alpha 6] (1981) ; Alain Robbe-Grillet dans La Belle Captive (1982), Un bruit qui rend fou (1995) et Gradiva (2005) ; Raoul Ruiz dans Fado mineur et majeur (1993), Trois vies et une seule mort (1995), Le Temps retrouvé (1998) et Les Âmes fortes (2001) ; Patrick Mimouni dans Villa Mauresque (1993) et Quand je serai star (2005) ; Cédric Kahn dans L'Ennui (1998) ; Alejandro Pelayo dans Miroslava (2001) ; John Malkovich dans Hideous Man (2002) ; Anne Fontaine dans Nouvelle Chance (2006) ; Michel Houellebecq dans La Possibilité d'une île (2008) ; Jean-Pierre Mocky dans Crédit pour tous (2011) et À votre bon cœur, mesdames (2012).

Elle est également apparue dans des comédies populaires, comme Un Indien dans la ville (1994) aux côtés de Patrick Timsit et de Thierry Lhermitte, ou Astérix et Obélix contre César (1999) de Claude Zidi, dans lequel elle tient le rôle de Mme Agecanonix.

Son époux, Bernard-Henri Lévy, lui offre en 1996 le rôle féminin principal de son premier film, Le Jour et la Nuit, aux côtés d'Alain Delon, Lauren Bacall et Karl Zéro. Qualifié par Claude Chabrol de « film le plus con de l'année »[21], c'est un échec artistique et commercial retentissant[22].

Elle fait ses débuts de réalisatrice en 1982, avec Chassé-croisé. Suivront Les Pyramides bleues (1988), Opium (2013), une comédie musicale inspirée des amours de Jean Cocteau et de Raymond Radiguet, Alien Crystal Palace (2018), ainsi que les documentaires La Traversée du désir (2000), Barbie par Arielle (2010) et le court-métrage érotique Le Bijou indiscret dans la série X-Femmes (2008).

Au théâtre, elle joue pour la compagnie Renault-Barraud, en 1984, dans Retour à Florence de Henry James, puis en 1988, dans L'Absolu naturel de Goffredo Parise, mis en scène, l'un et l'autre, par Simone Benmussa. En 2003, elle joue le rôle de la Belle dans la comédie musicale de Jérôme Savary, La Belle et la Toute Petite Bête, à l'Opéra-Comique, puis, en 2010, le rôle de l'Ange bleu dans Don Quichotte contre l'Ange bleu, toujours de Jérôme Savary au théâtre de Paris. Jérôme Savary dira d'Arielle Dombasle : « Cette fille fait tout ! Elle chante, elle danse ; elle n'hésite pas à se mettre en danger... C'est une vraie comédienne[23] ! » Du 17 décembre 2013 au 12 janvier 2014, elle joue le rôle Lana Turner dans El Tigre de Alfredo Arias, un opéra de Bruno Coulais, au théâtre du Rond-Point, à Paris[24]. À partir du 13 janvier et jusqu'au 22 janvier 2017, Arielle Dombasle jouait dans Folle Amanda aux côtés de Michèle Bernier et Patrick Braoudé sur la scène du théâtre de Paris. Une captation de la pièce a été faite et diffusée en direct sur TF1 le samedi 21 janvier 2017[25].

À la télévision, Arielle Dombasle incarne notamment, en 2004, Sissi dans Sissi, impératrice rebelle de Jean-Daniel Verhaeghe, et Milady dans le téléfilm éponyme de Josée Dayan en 2006. Elle joue dans le téléfilm Les Frangines de Laurence Katrian, avec Michèle Bernier et Guillaume Gallienne. Ce fut l'une des plus fortes audiences de l'année 2005 sur TF1.

Du 11 au 18 février 2007, le Crazy Horse accueille Arielle Dombasle pour une série de 17 représentations exceptionnelles où une succession de 6 tableaux sont créés par Vincent Darré et Ali Mahdavi[26].

En septembre 2013, elle est l'une des vedettes de la série quotidienne Y'a pas d'âge sur France 2 aux côtés de Claude Brasseur, Carmen Maura et Marthe Villalonga.

Arielle Dombasle participe au film Valentin Valentin de Pascal Thomas, où elle joue le rôle de la mère du personnage principal, sorti en salles le 7 janvier 2015[27].

À l'automne 2017, elle participe à la huitième saison de l'émission Danse avec les stars sur TF1, aux côtés du danseur Maxime Dereymez[28],[29], et termine huitième de la compétition[30].

Après avoir collaboré avec Nicolas Ker sur l'album La Rivière Atlantique, Arielle Dombasle réalise un 4e long métrage, Alien Crystal Palace, dans lequel elle-même et Nicolas Ker ont les rôles principaux, et qui sort le 23 janvier 2019[31]. Elle y met également en scène des amis et acteurs dont Michel Fau, Asia Argento, Ali Mahdavi, Christian Louboutin, Thaddaeus Ropac ou Jean-Pierre Léaud.

En 2023, elle obtient un rôle dans Alibi.com 2 de Philippe Lacheau, qui se positionne en première place du box-office des nouveautés pour sa journée de démarrage, devant Sacrées momies (37 213) et Titanic (26 671), alors en reprise pour son 25e anniversaire[32]. Elle apparaît également dans le documentaire Et dieu créa Barbie, aux côtés d’autres personnalités comme Lio et Frédérique Bel[33]. Elle réalise son cinquième film Les Secrets de la princesse de Cadignan, qui est une adaptation des nouvelles Les Secrets de la princesse de Cadignan et Le Cabinet des Antiques d'Honoré de Balzac[34].

Musique

Le chant a accompagné la carrière d'Arielle Dombasle dès son premier film, Perceval le Gallois (1978), dans lequel elle interprète des airs médiévaux[6].

En 1985, elle sort son premier 45 tours, la Cantate 78 de Jean-Sébastien Bach, en duo avec Octavian Loys.

Je te salue mari sort en 1986 (dans le cadre de la campagne publicitaire des robes de mariée Pronuptia dessinées par Jean-Paul Gaultier)[35].

Fin 1989, elle fait la rencontre de la chanteuse Emmanuelle. Celle-ci produit alors le single Amour Symphonique en 1990, chez Stiger Records (filiale d'AB Disques). Le clip de la chanson est réalisé par Éric Rohmer.

Se définissant elle-même comme « soprano dramatique »[6], selon des critères non propres au lyrique, elle s'y consacre plus intensément à partir des années 2000. Ses cinq premiers albums mêlant pop et lyrique (Extase en 2000, Liberta en 2002, Amor, Amor en 2004, C’est si bon en 2006 et Glamour à Mort en 2009) ont été couronnés de quatre disques d'or dont deux doubles disques d'or et un double disque de platine[alpha 7],[36].

Son album Glamour à mort, écrit et réalisé par Philippe Katerine, avec des arrangements de Gonzales et des mixes de Renaud Letang, a été salué par la presse à sa sortie[37].

En 2013, elle enregistre un album avec le groupe Era à Londres, inspiré à la fois par la musique sacrée, la musique de film et l'univers techno de la musique trance[38]. Deux ans plus tard, en 2015, elle sort un nouvel album French Kiss avec le groupe Hillbilly Moon Explosion[39].

De juin à , l'organisation « Opéra en plein air » choisit pour ses tournées en France la représentation de La traviata de Verdi sur une mise en scène d'Arielle Dombasle[40],[41] avec une chorégraphie signée Rémy Yadan et des costumes de Vincent Darré[42].

Pendant près de trois ans, Arielle Dombasle a collaboré avec Nicolas Ker pour donner naissance à un album intitulé La Rivière Atlantique paru le 14 octobre 2016 chez Pan European Recording[43].

Le , Laurent Ruquier annonce dans le quotidien Le Parisien qu'Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra reformeront le groupe yé-yé Les Parisiennes dans le cadre de la sortie d'un album, le , et d'une tournée française qui a débuté le aux Folies Bergère[44] et prendra fin le à l'Olympia[45].

En 2020, Arielle Dombasle annonce la sortie de son nouvel album avec Nicolas Ker intitulé Empire[46]. Après avoir annoncé une sortie le 24 avril 2020[47], la date est finalement repoussée au 19 juin 2020 à la suite de la crise sanitaire du coronavirus en France. Le premier single extrait de ce nouvel album s'intitule Just Come Back Alive[48].

Radio

Depuis le 22 janvier 2016[49], Arielle Dombasle fait partie des « sociétaires » de l'émission Les Grosses Têtes sur RTL, présentée par Laurent Ruquier[50].

Autres activités

Avec la collaboration de Mauboussin, Arielle Dombasle co-signe en février 2016 le parfum Le Secret d'Arielle[51],[52], décliné en mai 2017 au format eau de parfum. La campagne promotionnelle est réalisée par l'artiste Leonardo Marcos[53].

Engagement

Arielle Dombasle participe à des campagnes de sensibilisation, comme pour l'association PETA en septembre 2016. Pour cette association de défense des animaux, la comédienne, qui se dit végétarienne depuis ses vingt ans, apparaît nue avec le slogan suivant : « Il n'y a pas de fruit défendu, devenez végétarien »[54].

En 2020, Arielle Dombasle s'engage dans l'écologie en lançant, avec le soutien de la fondation Nicolas-Hulot, le défi #JeSauveUneSirène sur les réseaux sociaux pour sensibiliser les gens à ramasser le plastique sur les plages afin que la destruction des écosystèmes marins par le plastique prenne fin[55].

Vie privée

Mariée en premières noces le au dentiste Paul Albou (ce dernier étant âgé de 32 ans de plus qu'elle)[56] dont elle divorce en 1985, Arielle Dombasle épouse en secondes noces, le , Bernard-Henri Lévy, à Saint-Paul-de-Vence sur la Côte d’Azur[1].

Le , elle crée une société de production de films, AD Céleste[57] qui vient s'ajouter à ses autres activités, notamment artistiques (dans le cadre de la société « Dombasle Arielle » créée en 1994)[58]. Le même jour sont publiés sur son site officiel ses date et lieu de naissance, sujet que longtemps elle ne souhaita pas aborder publiquement[59]. Mais en 2011, Arielle Dombasle refuse de figurer dans le Who’s Who in France du fait d’un « désaccord avec le nombre d’années que veut lui attribuer la rédaction »[60].

Théâtre

  • 1979 : La Fugue de Francis Lacombrade et Bernard Broca, musique Alexis Weissenberg, mise en scène Jean-Claude Brialy, théâtre de la Porte-Saint-Martin
  • 1979 : La Petite Catherine de Heilbronn d'Heinrich von Kleist, mise en scène Éric Rohmer, Maison de la culture de Nanterre
  • 1985 : Retour à Florence d'après Henry James, adaptation Jean Pavans, mise en scène Simone Benmussa, théâtre Renaud-Barrault
  • 1991 : L'Absolu naturel d'après Goffredo Parise, mise en scène Simone Benmussa, théâtre Renaud-Barrault
  • 1991 : L'as-tu revue ?, mise en scène Olivier Benezech, Opéra-Comique
  • 1992 : Le Jugement dernier de Bernard-Henri Lévy, mise en scène Jean-Louis Martinelli, théâtre de l'Atelier
  • 2003 : La Belle et la Toute Petite Bête de Jérôme Savary, Opéra-Comique
  • 2008 : Don Quichotte contre l'Ange bleu de Jérôme Savary, théâtre de Paris
  • 2013 : El Tigre d'Alfredo Arias, mise en scène de l'auteur, théâtre du Rond-Point
  • 2017 : Folle Amanda, de Pierre Barillet et Jean-Pierre Grédy, mise en scène Marie-Pascale Osterrieth, théâtre de Paris

Filmographie

Cinéma

Longs métrages

  • 1978 : Perceval le Gallois d'Éric Rohmer
  • 1979 : Je te tiens, tu me tiens par la barbichette de Jean Yanne
  • 1979 : Tess de Roman Polanski
  • 1980 : Justocœur de Mary Stephen
  • 1981 : Les Fruits de la passion de Shūji Terayama
  • 1981 : Une robe noire pour un tueur de José Giovanni
  • 1981 : Putain d'histoire d'amour de Gilles Béhat
  • 1982 : Chassé-croisé d'Arielle Dombasle
  • 1982 : Le Beau Mariage d'Éric Rohmer
  • 1982 : La Belle Captive d'Alain Robbe-Grillet
  • 1983 : Pauline à la plage d'Éric Rohmer
  • 1983 : Sans soleil de Chris Marker (documentaire)
  • 1983 : Vera de Jean Seban
  • 1984 : Los motivos de Berta de José-Luis Guerin
  • 1984 : Mode in France de William Klein (documentaire)
  • 1984 : Flagrant Désir de Claude Faraldo
  • 1984 : The Boss's Wife de Ziggy Steinberg
  • 1985 : La Nuit porte-jarretelles de Virginie Thévenet
  • 1987 : Jeux d'artifices de Virginie Thévenet
  • 1988 : Les Pyramides bleues d'Arielle Dombasle
  • 1989 : Sauf votre respect de Guy Hamilton
  • 1989 : Le Rêve du singe fou de Fernando Trueba
  • 1991 : Lola Zipper d'Ilan Duran Cohen
  • 1992 : Hors saison de Daniel Schmid
  • 1992 : Villa Mauresque de Patrick Mimouni
  • 1992 : L'Absence de Peter Handke
  • 1993 : Miroslava d'Alejandro Pelayo
  • 1993 : L'Arbre, le Maire et la Médiathèque d'Éric Rohmer
  • 1993 : Grand Bonheur d'Hervé Le Roux
  • 1994 : Fado majeur et mineur de Raoul Ruiz
  • 1994 : Un Indien dans la ville d'Hervé Palud
  • 1995 : Mécaniques célestes de Fina Torres
  • 1995 : Les Cent et Une Nuits de Simon Cinéma d'Agnès Varda
  • 1995 : À propos de Nice, la suite de Raoul Ruiz
  • 1995 : Raging angels d'Alan Smithee
  • 1995 : Les Rendez-vous de Paris d'Éric Rohmer
  • 1995 : Un bruit qui rend fou d'Alain Robbe-Grillet et Dimitri de Clerq
  • 1996 : Les Deux Papas et la Maman de Jean-Marc Longval
  • 1996 : Trois vies et une seule mort de Raoul Ruiz
  • 1997 : J'en suis ! de Claude Fournier
  • 1997 : Le Jour et la Nuit de Bernard-Henri Lévy
  • 1997 : Jeunesse de Noël Alpi
  • 1998 : Que la lumière soit ! d'Arthur Joffé
  • 1998 : Hors jeu de Karim Dridi
  • 1998 : L'Ennui de Cédric Kahn
  • 1999 : Astérix et Obélix contre César de Claude Zidi
  • 1999 : C'est pas ma faute ! de Jacques Monnet
  • 1999 : Les Infortunes de la beauté de John Lvoff
  • 1999 : Le Temps retrouvé de Raoul Ruiz
  • 2000 : Amazone de Philippe de Broca
  • 2000 : Le Libertin de Gabriel Aghion
  • 2000 : 30 ans de Laurent Perrin
  • 2000 : Vatel de Roland Joffé
  • 2001 : Bo, ba, bu d'Ali Khamraev
  • 2001 : Les Âmes fortes de Raoul Ruiz
  • 2001 : Gamer de Patrick Levy
  • 2001 : Folle de Rachid en transit sur Mars de Philippe Barassat
  • 2002 : Deux de Werner Schroeter
  • 2003 : Lovely Rita, sainte patronne des cas désespérés de Stéphane Clavier
  • 2004 : Albert est méchant d'Hervé Palud : Barbara (Monique) Lechat
  • 2004 : Le Genre humain : Les Parisiens de Claude Lelouch
  • 2004 : Quand je serai star de Patrick Mimouni
  • 2005 : Le Courage d'aimer de Claude Lelouch
  • 2006 : Gradiva d'Alain Robbe-Grillet
  • 2006 : Nouvelle Chance d'Anne Fontaine
  • 2008 : La Possibilité d'une île, de Michel Houellebecq
  • 2008 : Sagan de Diane Kurys
  • 2010 : El Baile de San Juan de Francisco Athié
  • 2010 : HH, Hitler à Hollywood de Frédéric Sojcher
  • 2011 : Crédit pour tous de Jean-Pierre Mocky
  • 2011 : Celles qui aimaient Richard Wagner de Jean-Louis Guillermou
  • 2011 : La Mer à l'aube de Volker Schlöndorff
  • 2012 : À votre bon cœur, mesdames de Jean-Pierre Mocky
  • 2013 : Opium d'Arielle Dombasle
  • 2014 : Valentin Valentin de Pascal Thomas
  • 2018 : Salauds de pauvres de Patrice Leconte, Giedré, Sophie Forte, Christophe Alévêque, Manuel Pratt, Albert Meslay, Laurent Violet, Laurent Biras, Jean-Claude Deret, François Rollin, Phil Marboeuf, Christine Eché, Miguel-Ange Sarmiento, Dominique Meunier, Nadia Kozlowski-Bourgade
  • 2018 : Ma mère est folle de Diane Kurys : Jess
  • 2019 : Alien Crystal Palace d'Arielle Dombasle
  • 2022 : Les Voisins de mes voisins sont mes voisins d'Anne-Laure Daffis et Léo Marchand
  • 2023 : Swing Rendez-vous de Gérome Barry : Madame Raynal
  • 2023 : Alibi.com 2 de Philippe Lacheau : la mère de Greg
  • 2023 : La Fille et le garçon de Jean-Marie Besset
  • 2023 : Les Secrets de la princesse de Cadignan d'Arielle Dombasle : Princesse de Cadignan

Courts métrages

  • 1981 : Junkopia de Chris Marker : voix
  • 1982 : Laissé inachevé à Tokyo d'Olivier Assayas
  • 1983 : Rosette sort le soir de Rosette
  • 1983 : Un été nommé désir de Frédéric de Foucault
  • 1984 : Rosette prend sa douche de Rosette
  • 1984 : Penelope Last de Fernando Cobo
  • 1988 : Tokyo Days de Chris Marker
  • 1991 : Mémoires d'Eric Summer
  • 1996 : Soyons amis ! de Thomas Bardinet
  • 1998 : Les Amis de Ninon de Rosette
  • 2000 : Les Éléphants de la planète Mars de Philippe Barassat
  • 2002 : Hideous Man de John Malkovich
  • 2019 : Amor Maman de Roland Menou

Télévision

  • 1978 : Mazarin de Pierre Cardinal
  • 1979 : Louis XI ou le Pouvoir central d'Alexandre Astruc
  • 1980 : Catherine de Heilbronn d'Éric Rohmer : Kunigunde de Thurneck (captation vidéo de la mise en scène théâtrale)
  • 1981 : Les Panthères de Philippe Masson
  • 1981 : Histoires extraordinaires : Ligeia de Maurice Ronet
  • 1981 : La Princesse lointaine de Jean-Pierre Prévost
  • 1982 : Mozart de Marcel Bluwal
  • 1982 : Les Dames à la licorne de Lazare Iglesis
  • 1984 : Nuits secrètes (Lace) de William Hale
  • 1985 : Vive la mariée de Jean Valère
  • 1985 : Nuits secrètes 2 (Lace 2) de William Hale
  • 1986 : Deux flics à Miami épisode Definitely Miami de Rob Cohen
  • 1986 : La Griffe du destin (Sins) de Douglas Hickox
  • 1988 : Sueurs froides : Dernier week-end d'Hervé Palud
  • 1989 : Incognito d'Alain Bergala
  • 1989 : Le Saint, faux numéro de Marijan David Vajda
  • 1989 : Le Tour du monde en quatre-vingts jours de Buzz Kulik
  • 1989 : L'Or du diable de Jean-Louis Fournier
  • 1990 : Moi, général de Gaulle de Denys Granier-Deferre
  • 1990 : L'Homme au double visage de Claude Guillemot
  • 1992 : La Mare aux crocodiles de Neal Sundstrom
  • 1992 : Terror Stalks the Class Reunion de Clive Donner
  • 1992 : Pour le meilleur et pour le pire de Clive Donner.
  • 1994 : Red Shoe Diaries épisode Life Father, like Son de Rafael Eisenman
  • 1995 : L'Annamite de Thierry Chabert
  • 1997 : Maigret épisode Maigret et l'improbable Monsieur Owen de Pierre Koralnik
  • 1997 : Opération Bugs Bunny de Michel Hassan
  • 1997 : Le Désert de feu (Deserto di fuoco) d'Enzo G. Castellari
  • 1998 : Ivre mort pour la patrie de Vincent Hachet
  • 2000 : Les faux-fuyants de Pierre Boutron
  • 2002 : Les Frangines de Laurence Katrian
  • 2002 : La Bataille d'Hernani de Jean-Daniel Verhaeghe
  • 2004 : Milady de Josée Dayan
  • 2004 : Sissi, l'impératrice rebelle de Jean-Daniel Verhaeghe
  • 2006 : L'Homme de ta vie de Laurence Katrian
  • 2008 : Myster Mocky présente, épisode Dans le lac
  • 2009 : Myster Mocky présente, épisode La Cadillac
  • 2009 : Contes et nouvelles du XIXe siècle, épisode La Maison du chat qui pelote de Jean-Daniel Verhaeghe
  • 2010 : Ni reprise, ni échangée de Josée Dayan
  • 2010 : Roses à crédit d'Amos Gitaï
  • 2011 : La Mer à l'aube de Volker Schlöndorff
  • 2012 : Scènes de ménages : Ce soir, ils reçoivent de Francis Duquet
  • 2013 : Doc Martin, épisode Madame Le Foll de François Velle : Hortense Malherbe/Le Foll
  • 2014 : Magnum de Gaëtan Chataigner
  • 2013 : Y'a pas d'âge (programme court)
  • 2016 : The Geek Song avec Ametix
  • 2017 : Fais pas ci, fais pas ça (saison 9, épisode 5)
  • 2020 : Trop jeune pour moi de Jérémy Minui
  • 2021 : Le Grand Restaurant : Réouverture après travaux de Romuald Boulanger
  • 2022 : Plan Cœur (saison 3) de Noémie Saglio
  • 2024 : Serial Hunter de Renaud Bertrand

Réalisatrice-scénariste

  • 1982 : Chassé-croisé
  • 1988 : Les Pyramides bleues
  • 2008 : Le Bijou indiscret, épisode de la série X-Femmes
  • 2009 : La Traversée du désir, documentaire
  • 2009 : Barbie by Arielle Dombasle
  • 2010 : La Voiture d'Albert, documentaire
  • 2013 : Opium
  • 2018 : Alien Crystal Palace
  • 2023 : Les Secrets de la princesse de Cadignan

Discographie

Albums

  • 2000 : Liberta (disque d'or)
  • 2002 : Extase (double disque d'or)
  • 2004 : Amor Amor (disque de platine)
  • 2005 : En concert à l'Olympia
  • 2006 : C’est si bon (double disque d'or)
  • 2009 : Glamour à mort (disque d'or)
  • 2011 : Diva latina
  • 2013 : Arielle Dombasle by Era
  • 2015 : French Kiss (avec The Hillbilly Moon Explosion)
  • 2016 : La Rivière Atlantique (avec Nicolas Ker)
  • 2018 : Les Parisiennes (avec Mareva Galanter, Inna Modja et Helena Noguerra)
  • 2020 : Empire (avec Nicolas Ker)

Distinctions

Arielle Dombasle en 2000 lors de la 25e cérémonie des César.

Décorations

Le , Arielle Dombasle est nommée chevalier de la Légion d'honneur des mains du ministre de la culture, Renaud Donnedieu de Vabres, qui « rend hommage à tous ces visages qu'elle a bien voulu offrir à la Grâce, à la Beauté et au Talent[61] ».

Récompenses et nominations

En 1999, Arielle Dombasle est nommée à la 24e cérémonie des César dans la catégorie meilleure actrice dans un second rôle pour L'Ennui de Cédric Kahn[62].

En 2001, elle reçoit au Festival du film de Cabourg le prix de l'actrice la plus romantique pour Les Âmes fortes de Raoul Ruiz[63].

Le 5 décembre 2009, elle préside le jury pour l'élection de Miss France qui comprend notamment son ami de longue date Jean-Paul Gaultier, Farida Khelfa, Mareva Galanter, Xavier Deluc, Jimmy Jean-Louis et Jean-Luc Reichmann.

Le 17 décembre 2016, à Montpellier, Arielle Dombasle préside le jury de l'élection Miss France aux côtés de d'Ingrid Chauvin, Michèle Bernier, Malika Ménard, Amir, Christophe Barratier et Tony Yoka[64]

Autres nominations

Arielle Dombasle a fait l'objet d'un gag récurrent lors de chacune des sept cérémonies des Gérard du cinéma, parodie des Césars qui eut lieu entre 2006 et 2012, où elle est quasiment systématiquement la seule nommée, dans une catégorie fictive brodant autour de la dénomination « plus mauvaise actrice bénéficiant des réseaux de son mari ». Elle n'a cependant jamais pris part à aucune des cérémonies.

Notes et références

Notes

  1. La date de naissance d'Arielle Dombasle a été longtemps sujette à caution et source, de ce fait, de très nombreuses polémiques, notamment sur Wikipédia[5]. Lors d'une interview, Arielle Dombasle précise : « Moi-même j'ai trente-six mille dates de naissance… J'ai l'âge qu'on me donne et c'est parfait comme ça[6]. »
  2. Elle déclare à Marc-Olivier Fogiel dans l'émission Le Divan du mardi avoir perdu sa mère à l'âge de 11 ans, ce décès se produit en 1964.
  3. René-Yvan-Marie Sonnery (1887-1966) ayant épousé Anne-Marie-Maxime Berthon du Fromental (1891-1966), leur fils adopta les deux patronymes. Arielle reçut comme second prénom celui de sa grand-mère.
  4. Ou 32 ans selon l'entretien avec Catherine Schwab, Paris Match no 2896, 24 novembre 2004, p. 84.
  5. La photographie de 2002, intitulée Extase mettant en scène Arielle Dombasle par Pierre et Gilles, ainsi que sa genèse apparaît dans Chloé Devis, Derrière l'objectif de Pierre et Gilles : Photos et propos, éditions Hoebeke, , 155 p. (ISBN 2842304683), p. 104 et 105.
  6. Film érotique produit par Anatole Dauman et inspiré du roman de Pauline Réage, Histoire d'O.
  7. Les arrangements d'Amor, Amor et de C'est si bon sont dus à Jean-Pascal Beintus, sous la direction de Marc di Domenico et Matthieu Tarot.

Références

  1. 1 2 3 Marie-Dominique Lelièvre, « La vie à deux Bernard-Henri Lévy et Arielle Dombasle. Une romance. », Libération, 9 août 1996. À noter que l'article indique comme année de naissance 1958, contredite depuis par d'autres sources.
  2. Le journaliste Luc Le Vaillant prétend dans un portrait publié dans Libération en janvier 2019 avoir vu la copie du passeport que l'actrice lui aurait fait parvenir. Elle serait née en 1958, ce que la journaliste Marie-Dominique Lelièvre avait déjà indiqué dans le même journal en 1996 (supra) - Portrait. Arielle Dombasle, super eros (consulté le 10 février 2021)
  3. .
  4. André Siscot, « Arielle Dombasle », Les Gens du cinéma, consulté le 3 mars 2010.
  5. https://www.lemonde.fr/technologies/article/2012/01/14/wikipedia-bazar-libertaire_1629135_651865.html
  6. 1 2 3 4 5 Aurélie Raya, « Sacrée Arielle », Paris Match, no 3349, , p. 7 (ISSN 0397-1635).
  7. Rachel Kahn et Marc-Olivier Fogiel, Le divan de Marc-Olivier Fogiel, LAC Presse / Et la suite Productions / France 3 / France Télévisions / France TV Shows, , vidéo (présentation en ligne).
  8. « Deux Américaines à Paris », L'Express, 27 juin 2008.
  9. Généalogie sur geni.com.
  10. 1 2 3 Caroline Rochmann, « Arielle Dombasle lève le voile », Paris Match, 9 mai 2009.
  11. Acte de naissance no 350 (vue 280/374), registre des naissances pour les années 1881-1882, archives municipales de la ville d'Alès.
  12. Who’s Who in France, 1re édition, 1953-1954.
  13. « Maurice Garreau Dombasle », sur francaislibres.net (consulté le ).
  14. Hélène Mathieu (Interview d'Arielle Dombasle), « Arielle Dombasle : « Mon seul accomplissement, c’est l’amour » », sur le site de Psychologies magazine, (consulté le ) : « Vous parlez souvent de votre enfance mexicaine. Pourquoi avez-vous vécu là-bas ? – Arielle Dombasle : parce que mon grand-père maternel a été nommé ambassadeur par le général de Gaulle pour représenter la France libre en Amérique latine. Mon père, qui était d’une famille de soyeux de Lyon, a ouvert des usines de soie en Amérique et au Mexique quand il a rencontré ma mère. Il a adoré ce pays et s’y est installé. […] On vivait six mois à New York, et puis six mois à Lyon, et puis six mois dans le Midi. ».
  15. Liste des passagers des vols Air France des 5 mai 1955 et 7 mai 1957 sur familysearch.org.
  16. Un conte de femme : Arielle Dombasle, documentaire de Thierry Humbert (Makam), 2013.
  17. Caroline Rochmann, « Arielle Dombasle lève le voile », sur parismatch.com, (consulté le ).
  18. « Insaisissable Arielle Dombasle », sur francebleu.fr, (consulté le ).
  19. François Truffaut, cité par Victor Hache dans Arielle Dombasle, éditions du Collectionneur, 2002, p. 142.
  20. (en) Judy Flander, « Collins battles to save empire in Sins finale », Lakeland Ledger, , p. 3C (lire en ligne).
  21. François-Xavier Ajavon, « Symbolisme et temporalité bergsonnienne dans Le Jour et la Nuit de Bernard-Henri Lévy » sur nanarland.com.
  22. Interview de Bernard-Henri Lévy sur nouvelobs.com, 7 mai 2004.
  23. 19-20 édition nationale, France 3, « La Belle et la Toute Petite Bête », sur Ina.fr, (consulté le ).
  24. « El Tigre », sur theatredurondpoint.fr, (consulté le ).
  25. « Michèle Bernier est Folle Amanda avec Arielle Dombasle », sur purepeople.com, (consulté le ).
  26. « Arielle Dombasle chante et enchante ! », sur lecrazyhorseparis.com, (consulté le ).
  27. « Valentin Valentin », sur allocine.fr (consulté le ).
  28. Charlotte Moreau, « Danse avec les stars s’offre Arielle Dombasle », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  29. « Arielle Dombasle dans la prochaine saison de "Danse avec les stars" », sur Le Huffington Post (consulté le ).
  30. Cyndelina Arnous, « Danse avec les stars : Arielle Dombasle éliminée se confie : "Je n’avais plus dansé depuis une chute de cheval !" », sur tf1.fr, .
  31. « Découvrez la bande d’annonce d’Alien Crystal Palace ! », sur arielle-dombasle.com, (consulté le ).
  32. Brigitte Baronnet, « Box-office : Alibi.com 2 démarre-t-il mieux que le 1er film ? », sur Allociné, (consulté le )
  33. Et dieu créa Barbie documentaire sur allociné.FR
  34. Unifrance
  35. « Histoire - Pronuptia », sur pronuptia.com (consulté le ).
  36. « Arielle Dombasle : Amor, Amor… », sur festivaldesculturesjuives.org, (consulté le ).
  37. Jean-Marc Lalanne, « Arielle Dombasle : Glamour à mort », Les Inrocks, 27 avril 2009.
  38. « Arielle Dombasle by Era », sur universalmusic.fr, (consulté le ).
  39. « Arielle Dombasle revient en mode rock'n'roll avec French Kiss », sur universalmusic.fr, (consulté le ).
  40. « la tournée 2015 », sur operaenpleinair.com (consulté le ).
  41. Judith Chaine, « Arielle Dombasle : “Une Traviata tendue, sensuelle et féroce” », sur Télérama.fr, (consulté le ).
  42. « Opéra en plein air : La traviata mise en scène par Arielle Dombasle », sur culturebox.francetvinfo.fr, (consulté le ).
  43. Morane Aubert, « Le nouveau clip coup de foudre de Nicolas Ker et Arielle Dombasle », sur lesinrocks.com, (consulté le ).
  44. Éric Bureau, « Les Parisiennes, maintenant, ce sont elles ! », Le Parisien, , p. 28 (lire en ligne).
  45. « Les Parisiennes à l'Olympia ! », sur arielle-dombasle.com, .
  46. « Arielle Dombasle / à la maison », sur franceinter.fr, (consulté le ).
  47. Charlotte Marsal, « CONFINEMENT : COMMENT ARIELLE DOMBASLE ET NICOLAS KER GARDENT LE MORAL », sur cnews.fr, (consulté le ).
  48. « Just Come Back Alive le premier single extrait d’Empire ! », sur arielle-dombasle.com, (consulté le ).
  49. Thomas Martin, « Arielle Dombasle rejoint les Grosses Têtes », sur rtl.fr, (consulté le ).
  50. Thomas Martin, « Arielle Dombasle rejoint les Grosses Têtes », rtl.fr, 22 janvier 2016 (consulté le 31 janvier 2016).
  51. « Le Secret d'Arielle : Parfums Mauboussin », sur mauboussinparfums.com, (consulté le ).
  52. Caroline Rochmann, « La molécule de l'amour : le secret d'Arielle Dombasle », sur parismatch.com, (consulté le ).
  53. « Soirée Arielle Dombasle : le tout-Paris découvre son secret », sur parismatch.com, (consulté le ).
  54. « Faites comme Arielle Dombasle et croquez le fruit défendu », sur petafrance.com (consulté le ).
  55. « #JeSauveUneSirène Arielle Dombasle lance le challenge Pick up the Plastic ! », sur arielle-dombasle.com, (consulté le )
  56. Gilles Médioni, « Orthodromie entre Behonne et Bar-le-Duc », sur lexpress.fr, (consulté le ).
  57. Sophie Bernard, « Arielle Dombasle lance une société, et révèle un secret », News de stars, 20 août 2010.
  58. Fiche de la société sur societe.com. Les statuts de l'entreprise indiquent que l’artiste est née un 27 avril 1953, à Norwich dans le Connecticut.
  59. « Biographie », sur arielle-dombasle.com (consulté le ).
  60. Charles de Saint-Sauveur, « Le Who’s Who, de A à Z », Le Parisien no 20871, 21 octobre 2011, p. 34. Article repris partiellement en ligne sur RTL2.fr.
  61. Discours de réception d'Arielle Dombasle au grade de chevalier de la Légion d'honneur, 28 février 2007.
  62. « Meilleure actrice dans un second rôle », sur academie-cinema.org (consulté le ).
  63. Palmarès 2001 sur le site officiel du Festival du film de Cabourg.
  64. [vidéo] Élection miss France 2017 sur tf1.fr.

Voir aussi

Bibliographie

  • Erwan Chuberre, Et Dieu créa... Arielle Dombasle, Alphée-Jean-Paul Bertrand, 2010.
  • Gérard Guégan (texte), Maya Sachweh (photos), « Meurtre à l'Olympic », roman-photo, Playboy France, no 114, mai 1983, p. 61-67.
  • Victor Hache, Arielle Dombasle, Éditions du Collectionneur, 2002.
  • Patrick Mimouni, Arielle, Flammarion, 2006.

Liens externes