Gaillac | |
Place du Griffoul. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Tarn |
Arrondissement | Albi |
Intercommunalité | Gaillac Graulhet Agglomération (siège) |
Maire Mandat |
Martine Souquet (DVD) 2020-2026 |
Code postal | 81600 |
Code commune | 81099 |
Démographie | |
Gentilé | Gaillacois |
Population municipale |
15 245 hab. (2020 ) |
Densité | 299 hab./km2 |
Population agglomération |
18 735 hab. (2020) |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 54′ 05″ nord, 1° 53′ 57″ est |
Altitude | Min. 105 m Max. 288 m |
Superficie | 50,93 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Gaillac (ville-centre) |
Aire d'attraction | Gaillac (commune-centre) |
Élections | |
Départementales | Canton de Gaillac (bureau centralisateur) |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | ville-gaillac.fr |
Gaillac (en occitan Galhac) est une commune française, située dans le département du Tarn, dans la région Occitanie. Ses habitants se nomment des Gaillacois. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Gaillacois, un pays qui doit sa notoriété à la qualité de ses vins.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Tarn, le Tescou, le ruisseau de Banis, le ruisseau de Jeansault, le ruisseau de la Saudronne, le ruisseau de Viars et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Gaillac est une commune urbaine qui compte 15 245 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Gaillac et fait partie de l'aire d'attraction de Gaillac. Ses habitants sont appelés les Gaillacois ou Gaillacoises.
Ville millénaire, Gaillac a grandi grâce à l'agriculture florissante de sa région, le vin de Gaillac et le pastel, exportés grâce à son port et à l'activité économique de l'abbaye Saint-Michel. Ce passé a laissé l'empreinte de la brique rose dans toute la ville historique rénovée. La ville est d'ailleurs à ce titre surnommée « La Rose du Midi »[1].
Aujourd'hui, la troisième ville du département du Tarn possède de nombreux atouts qui expliquent sa croissance économique et démographique : industrie, tourisme et services.
Son unité urbaine comptait 18 735 habitants en 2020.
Géographie
Commune située à 19 km au sud-ouest d'Albi en Albigeois, les autres villes proches sont Castres (42,7 km), Toulouse (51,1 km), Lavaur (25 km), Graulhet (20 km), Carmaux (31 km), Montauban (50 km).
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Broze, Brens, Cahuzac-sur-Vère, Castelnau-de-Montmiral, Lisle-sur-Tarn, Montans, Rivières et Senouillac.
Gaillac est limitrophe de huit autres communes.
Géologie et relief
Gaillac est établie sur la première terrasse du Tarn.
La superficie de la commune est de 5 093 hectares ; son altitude varie de 105 à 288 mètres[3].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par le Tarn, le Tescou, le ruisseau de Banis, le ruisseau de Jeansault, le ruisseau de la Saudronne, le ruisseau de Viars, le Merdialou, le ruisseau de Frausseilles, le ruisseau de la Forêt, le ruisseau de Mérigot le ruisseau de Négo Rattos et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 42 km de longueur totale[5],[Carte 1].
Le Tarn, d'une longueur totale de 380 km, prend sa source sur le mont Lozère, dans le nord de la commune du Pont de Montvert - Sud Mont Lozère en Lozère, et se jette dans la Garonne à Saint-Nicolas-de-la-Grave, en Tarn-et-Garonne.
Le Tescou, d'une longueur totale de 48,8 km, prend sa source dans la commune de Castelnau-de-Montmiral et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Montauban, après avoir traversé 13 communes[6].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[7].
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montans », sur la commune de Montans, mise en service en 1992[12] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 753,9 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 16 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[16] à 13,8 °C pour 1991-2020[17].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[18] : la « basse vallée du Tarn » (3 623 ha), couvrant 49 communes dont huit dans la Haute-Garonne, 20 dans le Tarn et 21 dans le Tarn-et-Garonne[19].
Urbanisme
Typologie
Gaillac est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[20],[I 1],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gaillac, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[I 2] et 18 735 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gaillac, dont elle est la commune-centre[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 5],[I 6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (35,7 %), zones agricoles hétérogènes (23,7 %), terres arables (18,6 %), zones urbanisées (15,2 %), forêts (2,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3 %), eaux continentales[Note 7] (1,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
Durant des siècles, Gaillac a aussi été un port rivulaire important. Les gabarres descendaient le Tarn, chargées de barriques de vin, de bois, de produits alimentaires… La remontée se faisait à pied lorsque les gabarres étaient revendues pour être démontées à Bordeaux, ou halées par des chevaux jusqu'à leur port d'origine. Cette époque a fortement ralenti avec l'arrivée du chemin de fer et a complètement cessé après la crue de 1931 qui a endommagé les installations.
Voies routières
Gaillac se trouve à un carrefour routier très ancien. Situé entre Toulouse et Albi, la ville est aujourd'hui desservie par l'axe autoroutier A68 (sorties no 9). Les routes venant de Montauban, Cordes et Graulhet s'y croisent anciennes routes nationales (RN 88, RN 99 et RN 664). La RD 968 contourne Gaillac par le sud-ouest.
Voies ferroviaires
La gare de Gaillac, desservie par des TER Occitanie qui la relient à Toulouse-Matabiau et à Carmaux ou à Rodez[23], est inaugurée en 1864 par la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans sur la ligne Brive-Toulouse via Capdenac.
La gare de Tessonnières, située également sur le territoire de la ville, est elle aussi desservie par des TER Occitanie[24].
Transports en commun
Gaillac est desservie par son propre réseau de transports en commun, dénommé La Navette. Il se compose de 5 lignes régulières qui traversent la ville et qui transitent toutes par la Place de la Libération, située en centre-ville[25].
La ville est également desservie par de nombreuses lignes régulières du réseau régional liO, qui la relient à des villes du Tarn et de la région Occitanie : la ligne 702 vers Albi ou Saint-Sulpice-la-Pointe ; la ligne 704 vers Castres ; la ligne express 709 vers Albi ou Saint-Sulpice-la-Pointe ; la ligne 710 vers Lavaur ; la ligne 712 vers Albi ; la ligne 721 vers Montauban ou Albi.
Transports aériens
Aérodrome de Gaillac - Lisle-sur-Tarn petit aérodrome de tourisme établi entre Gaillac et Lisle-sur-Tarn. La piste unique utilisée par l'aéroclub du gaillacois est en herbe et mesure plus d'un kilomètre.
- Ancien port fluvial
- L'entrée par le pont routier Saint Michel sur le Tarn
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Gaillac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à trois risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel et la rupture d'un barrage[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Tarn et le Tescou. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[28]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1992, 1994, 1996, 2001, 2003 et 2014[29],[26].
Gaillac est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 8],[30].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[31]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 5 606 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 5 601 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].
Risques technologiques
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[34].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[35].
La commune est en outre située en aval d'un barrage de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[37].
Toponymie
En occitan son nom est Galhac.
Histoire
Premières traces
Des traces d'un habitat gallo-romain existent dans les textes. Des fouilles faites sur le site de l'abbaye Saint-Michel confirment ces dires. À l'époque, il ne s'agit probablement que d'une villa, la ville locale de l'époque se trouvant sur l'autre rive du Tarn, dans l'oppidum de Montans. Sur ce site, des ateliers de potiers ont été exhumés.
Plus tard, au VIIe siècle, un texte relate le legs de Gaillac à la cathédrale de Cahors par son évêque, saint Didier[a 1]. Un domaine religieux a donc succédé à la villa.
Fondation officielle
La date historique de fondation de la ville est 972, lorsque l'autel de l'église Saint-Michel est consacré. Un document atteste de cette cérémonie, menée par Frotaire, évêque d'Albi en présence de l'évêque de Lodève et du comte Raymond de Toulouse. Ce texte précise l'étendue des terres cédées au monastère bénédictin[a 1].
Les débuts de la ville se confondent avec la vie de l'abbaye Saint-Michel de Gaillac. La mise en valeur des terres agricoles, en particulier la viticulture, ont entraîné l'essor de la ville, progressivement peuplée de gens revendiquant la protection du clergé[a 2].
En 1381, craignant que l'hôpital Saint-André ne soit repris par les Anglais, les consuls le font démolir et seront excommuniés pour s'être passés de l'autorisation du pape[38].
Guerres de Religion
Selon le récit de Mathieu Blouin, contemporain des faits, en 1562, les protestants saccagent l'église Saint-Pierre. Après quelques provocations, les catholiques excédés les pourchassent. Le consul Cabrol périt en tentant de s'interposer et les réformés sont précipités dans le Tarn depuis l'abbaye[a 3].
En 1568, les huguenots reprennent la ville. Les catholiques se réfugient dans le château de l'Hom. Pour les en déloger, les assaillants mettent le feu au faubourg de l'Hom. La loi rigoureuse des protestants est appliquée : des prostituées ont l'oreille coupée[a 4], les lieux de culte sont saccagés et les remparts sont consolidés. En 1570, la paix autorise les catholiques à reprendre leur culte. Les troupes papales sévissent jusqu'en 1572 où 80 protestants sont enfermés et massacrés le 5 octobre. La ville restera alors catholique[a 3].
Modernisation de la ville
Le visage médiéval de Gaillac perdure jusqu'au XVIIIe siècle : les remparts enserrent des maisons à colombage surplombant les venelles étroites.
Lors de la mise bas des remparts et des portes, les fossés sont remplis pour laisser place à de larges rues. Dans la vieille ville, des îlots en mauvais état sont détruits pour aérer l'espace et créer ou agrandir des places. Les faubourgs s'agrandissent le long des axes de communication, vers Albi, Montauban, Cordes, Toulouse ou Brens. Le faubourg de la Madeleine prend un essor capital avec l'érection du nouvel hôtel de ville en 1833. Sa façade néoclassique en brique crée une unité de style avec la place d'Hautpoul. La sous-préfecture, la poste et les pompiers prennent place dans le bâtiment[a 5]. En centre-ville, donnant sur la place du Griffoul[Note 10] une halle à arcades de brique est construite en 1842[a 6]. Un pont suspendu est bâti en 1839[a 7] pour remplacer le bac entre Gaillac et Brens.
La gare est inaugurée le 24 octobre 1864[a 8]. Son rôle efface celui du port. Ce dernier exportait des produits agricoles en gabarres jusqu'à Bordeaux enrichissant des marchands et faisant vivre une population laborieuse importante[a 9]. (tonneliers, fabricants de gabarres, manœuvres, auberges pour les voyageurs et les mariniers…).
Une crue du Tarn importante inonde le quartier du port en mars 1930, après un hiver très humide[a 10]. Un moulin y succombe et les maisons insalubres de la ville basse sont très abîmées.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 10 000 habitants et 19 999 habitants au dernier recensement, le nombre de membres du conseil municipal est de trente trois[39],[40].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie depuis le de Gaillac Graulhet Agglo ancienne communauté d'agglomération du Rabastinois - Tarn et Dadou - Vère Grésigne et Pays Salvagnacois et du canton de Gaillac et jusqu'au Gaillac faisait partie de la communauté de communes Tarn et Dadou.
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
En 2020, l'image de la ville a été ternie par le climat d'affairisme qui a occupé la vie politique gaillacoise. Ce scandale s'est soldé par la condamnation du maire, Patrice Gausserand, à 10 mois de prison avec sursis, 20 000 euros d'amende et 5 ans d'inéligibilité. En septembre, il est déclaré démissionnaire d'office[41]. Son adjoint, Pierre Tranier, lui-même comptable de la société le Comptoir des Bastides, mise en cause lors du même procès, demeure en place[42]. Le suivant, Martine Souquet est élue maire de la commune[43].
Politique de développement durable
La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2006[44].
Jumelages
Gaillac est initialement jumelée avec Caspe ; cette ville espagnole a proposé un jumelage triangulaire, étant elle-même jumelée avec Santa Maria a Vico. L'opération est réalisée en 2008[45].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[46] - [Note 11].
En 2020, la commune comptait 15 245 habitants[Note 12], en augmentation de 1,11 % par rapport à 2014 (Tarn : +1,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 7 005 ménages fiscaux[Note 13], regroupant 14 928 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 300 €[I 7] (20 400 € dans le département[I 8]). 40 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 14] (42,8 % dans le département).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 9,3 % | 12 % | 11,3 % |
Département[I 10] | 8,2 % | 9,9 % | 10 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 8 830 personnes, parmi lesquelles on compte 71,8 % d'actifs (60,5 % ayant un emploi et 11,3 % de chômeurs) et 28,2 % d'inactifs[Note 15],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est la commune-centre de l'aire d'attraction de Gaillac[Carte 4],[I 12]. Elle compte 6 473 emplois en 2018, contre 6 299 en 2013 et 5 939 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 5 458, soit un indicateur de concentration d'emploi de 118,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,3 %[I 13].
Sur ces 5 458 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 2 682 travaillent dans la commune, soit 49 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 78,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,4 % les transports en commun, 11,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
1 481 établissements[Note 16] sont implantés à Gaillac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 17],[I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 1 481 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 133 | 9 % | (13 %) |
Construction | 153 | 10,3 % | (12,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 428 | 28,9 % | (26,7 %) |
Information et communication | 29 | 2 % | (2,1 %) |
Activités financières et d'assurance | 44 | 3 % | (3,3 %) |
Activités immobilières | 74 | 5 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 215 | 14,5 % | (13,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 251 | 16,9 % | (15,5 %) |
Autres activités de services | 154 | 10,4 % | (9 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,9 % du nombre total d'établissements de la commune (428 sur les 1481 entreprises implantées à Gaillac), contre 26,7 % au niveau départemental[I 17].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[53] :
- Gaillac Auto, commerce de voitures et de véhicules automobiles légers (44 792 k€)
- Picard Autos 81, commerce de voitures et de véhicules automobiles légers (16 040 k€)
- Surplus Autos, commerce de voitures et de véhicules automobiles légers (15 486 k€)
- Usagunic, commerce de gros (commerce interentreprises) d'autres biens domestiques (8 202 k€)
- Surplus Motos, commerce et réparation de motocycles (4 143 k€)
Agriculture
L'agriculture locale est liée économiquement, depuis les Romains, au vignoble. Développé par les moines de l'abbaye Saint-Michel, les vignes occupent les terrasses de la vallée du Tarn, les coteaux de la rive droite et le plateau de Cordes. Ces terroirs permettent l'élaboration d'un grand nombre de style de vins : vins blancs secs, doux, effervescents, vins rosés, vins rouges primeur ou de garde.
Les parcelles non plantées de vignes portent essentiellement des cultures extensives : céréales, colza ou tournesol en zone sèche, maïs ou soja en zone irriguée. Même si quelques troupeaux paissent de riches pâturages, ce n'est pas une zone d'élevage importante.
La commune est dans le Gaillacois, une petite région agricole au sous-sol argilo-graveleux et/ou calcaire dédiée à la viticulture depuis plus de 2000 ans, située dans le centre-ouest du département du Tarn[54]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 18] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 223 lors du recensement agricole de 1988[Note 20] à 124 en 2000 puis à 94 en 2010[56] et enfin à 68 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 70 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[57],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 3704 ha en 1988 à 2027 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 17 à 30 ha[56].
Industrie et artisanat
Quelques secteurs industriels sont vecteurs d'emploi : l'ameublement (80 emplois[58]) les cosmétiques (329 emplois[59]) ou les à-côtés de la viticulture : produits œnologiques, conditionnement, laboratoire œnologique, centre de recherche ou distillation[60].
Cinq zones d'activité regroupent artisanat, commerce et services, outre les commerces et services du centre-ville[61].
Voir aussi la chambre de commerce et d'industrie d'Albi - Carmaux - Gaillac
Vie pratique
Service public
Gaillac dispose d'un hôpital public (centre hospitalier), qui comprend une activité de médecine (25 lits), de long séjour et d'hébergement pour personnes âgées dépendantes.
Social
Association caritatives
- La Croix-Rouge
Elle occupa à partir de 1930 et pendant plus de 50 ans des locaux à l'ancien Asile Salvy, avant dêtre implanté place d'Hautpoul puis depuis 2008 avenue Dom Vayssette.
- Ancien asile Salvy
- 58 place d'Hautpoul
- 119 avenue Dom Vayssette
Enseignement
La ville compte seize établissements scolaires :
- dix écoles : 3 écoles maternelles publiques (Catalanis, La Voulte, Lentajou) ; 1 école élémentaire publique (La Clavelle-Vendôme), 1 école élémentaire privée (Maria Montessori) ; 3 écoles primaires publiques (Louise Michel, Sainte Cécile d'Avès, Tessonnières) ; 2 écoles primaires privées (Calendreta del Galhaguès, Saint Théodoric Balat)
- trois collèges : 2 collèges publics (Albert Camus, Renée Taillefer) ; 1 collège privé (Saint Joseph de l'Apparition)
- deux lycées : 1 lycée général et technologique public (Victor Hugo) ; 1 lycée général privé (Saint Joseph de l'Apparition)
- une MFR (Maison familiale rurale) Bel Aspect.
totalisant 4000 élèves[62]. Ce total comprend aussi les jeunes venus des communes rurales alentour.
Culture
Événements
- Les quatre jours avant les vacances scolaires de Toussaint a lieu le Festival du cinéma européen, organisé par l'association Les 400 coups.
- Le troisième week-end de novembre la soirée "GAILLAC PRIMEUR GAILLAC BONHEUR" organisée par le Dégourdy's Club fait découvrir le Vin Primeur aux amateurs de la région, dans une ambiance très festive.
- Le premier mai, une foire anime la ville, laissant libre accès aux piétons dans le centre-ville[63].
- Le premier week-end d'octobre, se déroule le Salon du livre[64].
- Depuis 2017 a lieu tous les soirs, de décembre à janvier, le Festival des lanternes "Fééries de Chine". Plus grand événement culturel chinois présenté en France, il consiste en une exposition, au sein du parc du château de Foucaud, de grandes lanternes aux formes diverses : personnages, animaux, monuments.. L'événement rend hommage à la ville chinoise de Zigong, avec laquelle Gaillac est jumelée et qui est célèbre pour sa fête des lanternes[65].
- Depuis 2011, la Compagnie des Troubles-Fêtes, créée et présidée par Chantal Liennel, présente des spectacles et animations en langue des signes française.
Activités sportives
L'Union athlétique gaillacoise, finaliste du championnat de France de rugby à XV de 3e division fédérale en 2012. Champion de France fédérale 1 saison 2005/2006, champion de France fédérale 1B saison 2005/2006.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Abbaye Saint-Michel
Son existence est connue depuis le Xe siècle. Il est attesté qu'en 972 une communauté bénédictine est présente : elle a initié le développement agricole et économique à partir de l'exploitation du vignoble et du trafic commercial du vin sur le Tarn. L'abbaye est en partie reconstruite en 1271 sur le style du gothique méridional. En 1524, elle est sécularisée, un chapitre de chanoines remplace la communauté, mais le titre abbatiale est conservé. Dévasté par les protestants à deux reprises, l'édifice est reconstruit et redécoré de 1570 à 1620. À nouveau dégradée durant la Révolution, elle sert d'entrepôt et de four à salpêtre, avant de retrouver son rôle sous le Concordat. C'est en 1849 que l'entrée nord étant fermée, une autre est ouverte sur la façade ouest où l'on plaque un portail néoroman (œuvre d'Alexandre du Mège). De gros travaux de restauration depuis la fin du XIXe siècle ont été entrepris jusqu'à la rénovation complète des bâtiments abbatiaux dans les années 1990[a 11].
Sont protégés les anciens bâtiments abbatiaux avec leurs murs de soutènement sur le Tarn, y compris l'hôtel de Paulo (actuel presbytère, 42 place Maurice-et-Eugénie-de-Guérin), inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du [66].
Autre patrimoine religieux
- L'église Saint-Michel de Gaillac est protégée au titre des monuments historiques par la liste de 1840[67].
- L'église Saint-Jean de Gaillac a donné son nom au faubourg Saint-Jean. Elle date du Moyen Âge mais a été reconstruite au XVIe siècle après sa destruction lors des guerres de Religion. Elle a été restaurée et agrandie au XIXe siècle[a 12]. Elle est en briques rouges traditionnelles.
- L'église Saint-Pierre actuelle date du XIIe siècle ; elle a remplacé une église romane plus ancienne. De style gothique méridional, elle date du renouveau religieux apparu lors de la lutte entre la papauté et les cathares. Bien qu'elle ait subi quelques modifications après son utilisation par les protestants (ajout d'une tour de guet) et durant la Révolution, (accueil de la candeilho, la grosse cloche de l’ancienne abbaye de Candeil[a 13]), elle est bien représentative de son époque. La brique rouge domine à l’exception du portail en pierre du XIVe siècle. Elle est classée au titre des monuments historiques en 1985[68].
- Église Notre-Dame de Boissel.
- Église Sainte-Cécile d'Avès[69].
- Église Saint-Jean-de-Celles de Mas de Boyer.
- Église Saint-Pierre de Vors.
- Chapelle Saint-Martin de Saint-Martin de Villecourtes.
Musées
Le Musée des beaux-arts de Gaillac est abrité dans le château de Foucaud. Le bâtiment est classé au titre des monuments historiques depuis 1935 pour le pavillon de lecture et en 1945 pour le parc et le château[70]. Il comporte une collection du peintre Firmin Salabert (1811-1895), élève d'Ingres, qui a donné à la ville ses tableaux. Le maire de Gaillac cherche un lieu pour les exposer et après de longues tractations, l'achat du château de Foucaud est réalisé en 1903. D'autres artistes locaux sont aussi visibles, comme Henry Loubat (1855-1926), Charles Escot (1834-1902), Raymond Tournon père (1870-1919) et fils (1901-1975). Le sculpteur Jules Pendariès (1863-1933) est exposé depuis peu[b 1].
Le musée d'histoire naturelle Philadelphe-Thomas, regroupe des collections d'animaux empaillés, insectes, fossiles, œufs… Philadelphe Thomas, 1826-1912, est un médecin passionné de paléontologie, archéologie, minéralogie, mycologie. Il fait construire un bâtiment pour accueillir ses collections à l'emplacement du château de l'Hom et le musée ouvre ses portes en juin 1896. À sa mort, sans héritier, il a légué son musée à la ville. Une des pièces les plus exceptionnelles est une partie de fossile de squelette d'entelodonte de 35 millions d'années, retrouvé sur les berges du Tarn[b 2].
Dans le musée de l'abbaye Saint-Michel, se trouve résumée l'histoire de Gaillac. La visite débute par l'exposition d'une mosaïque gallo-romaine découverte sur place en 1995, lors de la réfection des bâtiments. L'histoire du port de la ville, de la viticulture, de la verrerie, du compagnonnage et d'art religieux sont aussi mis en valeur dans les anciennes caves de l'abbaye[b 3].
Autres monuments
- La fontaine de Griffoul, classée au titre des monuments historiques depuis 1942[71].
- Maison Yversen, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1927[72].
- La maison Pierre de Biens, classée au titre des monuments historiques par décret du 10 novembre 1921[73].
- L'ancienne prison de Gaillac, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1927[74].
- La tour de Palmata, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1927[75].
- Une maison rue de la Courtade, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1971[76].
- Pigeonnier situé dans le jardin du musée d'histoire naturelle Philadelphe-Thomas.
- La fontaine de Griffoul 1610
- Porte de la Maison Yversen XVIe siècle
- La maison Pierre de Biens
Alentours
- De l'autre côté du Tarn, se trouve l'archéosite de Montans, un musée qui retrace le passé de cette localité fondée par les Romains.
- À Lagrave, l'archéocrypte Sainte-Sigolène regroupe des vestiges issus de fouilles locales classées M.H[77]
- Le train miniature gaillacois est une association de modélisme ferroviaire ouverte au public[78].
Personnalités liées à la commune
Sportifs
Le club de rugby a fourni quelques joueurs à la destinée nationale.
- Éric Blanc, joueur de rugby au Racing club de France, puis au RC Narbonne, né à Gaillac en 1959.
- Vincent Moscato, joueur de rugby de l'UA Gaillac, de Bordeaux-Bègles, du Stade français et de l'équipe de France de rugby à XV, animateur radio et acteur de théâtre et cinéma.
- Bernard Laporte, joueur et entraîneur de rugby à l'UA Gaillac, Bègles, Stade bordelais, Stade français, équipe de France de rugby à XV et secrétaire d'État chargé des Sports.
- Olivier Monterrubio, footballeur, né à Gaillac le .
- Daniel Revailler, international deuxième ligne de rugby à XV, habite Gaillac et son fils Jean-Philippe a fini sa carrière à l'UA Gaillac.
Artistes
- Alain Guiraudie (1964-), réalisateur.
- Serge Korber (1936-), réalisateur.
- Éric Carrière (1957-), humoriste, membre du duo comique Les Chevaliers du Fiel.
- Yves Caumon (1964-), réalisateur.
- Michel Clouscard (1928-2009), philosophe. Voir François de Negroni, Avec Clouscard, Éditions Delga, 2013.
- Gaston Durel (1879-1954), peintre.
- Alexandre Fabre, comédien.
- Maurice de Guérin (1810-1839), poète, et sa sœur Eugénie de Guérin (1805-1848), diariste.
- Chantal Liennel (1943- ) comédienne sourde, poétesse et metteur en scène française.
- Marcel Marchandeau (1881-1976), dit Touny-Lerys, poète.
- Pierre Mondy (1925-2012), comédien et metteur en scène, ancien élève du lycée de Gaillac[79].
- Raymond Tournon « père » (1870-1919), artiste peintre et décorateur.
- Raymond Tournon « fils » (1901-1975), artiste peintre, décorateur ; tous deux ont une rue à leur nom dans la cité.
- Guillem Gallart dit « Pone », producteur de musique, membre de la Fonky Family[80].
Militaires
Musée des Beaux-Arts de Gaillac
- Jean Joseph Ange d'Hautpoul (1754-1807), général d'Empire.
- Les trois frères Delga, officiers des guerres de la Révolution et de l'Empire.
Politiques
- Pierre Puech-Samson (Gaillac 1915 - Narbonne 2000), commandant du 2ème RCP, Compagnon de la Libération[81], député de Mostaganem (1958-1962)
- Charles Pistre (1941-), maire de 1995 à 2005, député du Tarn de 1978 à 1993.
- Jacques Dary, maire de 1983 à 1995, vice-président du conseil régional de Midi-Pyrénées de 1992 à 1998.
- Bernard Laporte, secrétaire d'État chargé de la Jeunesse et des Sports auprès de la ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports du 22 octobre 2007 au 23 juin 2009.
- Paul Marchandeau (1882-1968), homme politique.
Clergé
- Mathieu Blouin, moine et historien occitan.
- Jean-Joseph Vaissète, connu comme dom Joseph Vaissète.
- Émilie de Vialar, sainte, fondatrice de la congrégation des sœurs de Saint-Joseph-de-l'Apparition, native de Gaillac.
- Pierre Dalmond (1800-1847), évêque et vicaire apostolique de Madagascar, a été vicaire de la paroisse Saint-Pierre de Gaillac[82].
Autres
- Antoine Portal, médecin à la cour de France sous Louis XVIII.
- Jean-Laurent Riol (1881-1971), historien.
- Les Justes parmi les Nations à Gaillac : Jacqueline, Marie-Louise et Paul-Raymond Rigaud ont risqué leur vie pour venir en aide à des juifs durant la Seconde Guerre mondiale.
- Jihel, journaliste dessinateur auteur dans sa célèbre série Ciment de l'histoire de planches politiques sur Paul Marchandeau et Jean Joseph Ange d'Hautpoul en rapport avec la ville de Gaillac.
- La famille Thoéry, connue à Gaillac depuis le XVe siècle et qui a laissé son nom à la rue Toery.
- Famille Cavaillé-Coll.
- Barthélémy Cabrol, premier chirurgien d’Henri IV, mort à Gaillac en 1603.
- Michel Clouscard, athlète présélectionné aux jeux olympiques de 1948, philosophe, essayiste, sociologue enseignant-chercheur à l'Université de Poitiers
- Alain Emmanuel Dreuilhe (1949-1988), écrivain dont les cendres reposent au cimetière Saint-Jean de Gaillac.
Héraldique
|
Son blasonnement est : D'azur au coq d'or surmonté de trois fleurs de lys du même rangées en chef. |
---|
Expression
L’expression « Se perdre entre Gaillac et Rabastens » est utilisée dans le Sud-Ouest de la France pour désigner l’état d’ébriété d’une personne. Cette maxime ancienne vient de Lisle-sur-Tarn, située entre les deux villes : on y disait que les gens ivres n'avaient pas su choisir entre les deux vins et avaient dû les redéguster à plusieurs reprises[83].
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- ↑ Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
- ↑ L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- ↑ La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- ↑ Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- ↑ Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
- ↑ Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[36].
- ↑ Grifol, mot occitan désignant « fontaine ».
- ↑ Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- ↑ Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- ↑ La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- ↑ Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- ↑ L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- ↑ Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- ↑ L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- ↑ Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- ↑ Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[55].
- Cartes
- ↑ « Réseau hydrographique de Gaillac » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- ↑ « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- ↑ Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- ↑ « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Notes de type "Carte"
Références
Site de l'Insee
- ↑ « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
- ↑ « Unité urbaine 2020 de Gaillac » (consulté le ).
- ↑ « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
- ↑ Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gaillac » (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- ↑ « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Gaillac » (consulté le ).
- ↑ « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
- 1 2 « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Gaillac » (consulté le ).
- ↑ « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
- ↑ « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- ↑ « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- ↑ « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Gaillac » (consulté le ).
- ↑ « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- ↑ « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- ↑ « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Gaillac » (consulté le ).
- ↑ « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).
Autres sources
- ↑ Jemal Auzgueg, Gaillac, une histoire de culture(s), Toulouse, Flammarion, , 448 p., p. 48.
- ↑ Carte IGN sous Géoportail
- ↑ Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- ↑ « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Fiche communale de Gaillac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- ↑ Sandre, « le Tescou »
- 1 2 Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- ↑ 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- ↑ « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le ).
- ↑ « Station météofrance Montans - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Orthodromie entre Gaillac et Montans », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station météofrance Montans - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Orthodromie entre Gaillac et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
- ↑ « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
- ↑ « Liste des ZNIEFF de la commune de Gaillac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- ↑ « ZNIEFF la « basse vallée du Tarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- ↑ « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ « TER Occitanie - Horaires et informations pratiques au départ de la gare de Gaillac »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur ter.sncf.com (consulté le ).
- ↑ « TER Occitanie - Horaires et informations pratiques au départ de la gare de Tessonnières »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur ter.sncf.com (consulté le ).
- ↑ « Déplacement / transports - Cadre de vie - Gaillac, un plaisir de ville », sur ville-gaillac.fr (consulté le ).
- 1 2 « Les risques près de chez moi - commune de Gaillac », sur Géorisques (consulté le ).
- ↑ BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- ↑ DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Les risques majeurs dans le Tarn », sur tarn.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- ↑ « Les risques majeurs dans le Tarn », sur tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- ↑ « Les risques majeurs dans le Tarn », sur tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- ↑ « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- ↑ « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Gaillac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Les risques majeurs dans le Tarn », sur tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
- ↑ « Les risques majeurs dans le Tarn », sur tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- ↑ Article R214-112 du code de l’environnement
- ↑ « Les risques majeurs dans le Tarn », sur tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- ↑ Hippolyte Crozes, Notice historique et descriptive sur l'église métropolitaine de Sainte-Cécile d'Albi, Toulouse, impr. de veuve Dieulafoy, (lire en ligne), p. 19, no 2.
- ↑ art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- ↑ « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Le maire de Gaillac Patrice Gausserand démissionné d'office à la suite d'une décision de justice », sur La Dépêche du Midi, .
- ↑ « Le maire de Gaillac condamné à 5 ans d'inéligibilité pour prise illégale d’intérêts et corruption passive », sur La Dépêche du Midi, .
- ↑ « Gaillac : le conseil municipal retrouve le sens du débat », sur La Dépêche du Midi, .
- ↑ FICHE | Agenda 21 de Territoires - Gaillac, consultée le 26 octobre 2017
- ↑ J.-A. L., « Gaillac. Jumelage: la ville fait ménage à trois », La Dépêche du Midi, (lire en ligne).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- 1 2 3 4 5 INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ « Entreprises à Gaillac », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- ↑ « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- 1 2 « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Gaillac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Tarn » (consulté le ).
- ↑ « Meubles J.P. Delmas, Made in Gaillac », Site Meubles-delmas.fr (consulté le ).
- ↑ « Laboratoires Fabre, site de Gaillac », Site pierre-fabre.com (consulté le ).
- ↑ « Service des alcools du Tarn », Site de la mairie de Gaillac (consulté le ).
- ↑ « Zones d'activité », Site officiel de la ville de Gaillac (consulté le ).
- ↑ « Gaillac en chiffres », Site officiel de la ville de Gaillac (consulté le ).
- ↑ « Grande Foire du 1er mai ! », Site officiel de la mairie de Gaillac (consulté le ).
- ↑ « Salon du livre », Ste de la mairie de Gaillac (consulté le ).
- ↑ « Festival des Lanternes Gaillac | Les Féeries de Chine ».
- ↑ « Abbaye Saint-Michel », notice no PA00132878, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Notice no PA00095557, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Église Saint-Pierre », notice no PA00095558, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Gaillac : église Sainte-Cécile d’Avès », sur Diocèse d'Albi (consulté le ).
- ↑ « Château d'Hutaud », notice no PA00095556, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Notice no PA00095559, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Notice no PA00095562, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Notice no PA00095561, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Notice no PA00095563, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Notice no PA00095564, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Notice no PA00095560, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ P. Cabot responsable des travaux archéologiques du site de Troclar et conservateur archéocrypte
- ↑ « Train miniature gaillacois » (consulté le ).
- ↑ « Hommage à l'acteur Pierre Mondy, ancien lycéen à Gaillac », sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, : « Mais il avait été aussi élève du lycée de Gaillac ».
- ↑ « Gaillac : figure de la Fonky Family, le Toulousain Pone a composé un mix avec ses yeux pour la cérémonie de clôture des Paralympiques », sur ladepeche.fr (consulté le ).
- ↑ Fiche biographique sur le site de l'Ordre de la Libération
- ↑ « Pierre Dalmond, un prêtre tarnais du diocèse d'Albi fonde l'Eglise Catholique qui est à Madagascar. », sur Tarn-Madagascar (consulté le ).
- ↑ « Histoire de Lisle-sur-Tarn », tarninfo.com (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
- [Fournier 1891] Marcel Fournier, « Studium de Gaillac : XIVe siècle », dans Statuts et privilèges des universités françaises : Depuis leur fondation jusqu'en 1789, t. 2, Première partie :Moyen Âge, Paris, L. Larose et Forcel éditeurs, (lire en ligne), p. 745-746
- Alain Soriano, Guide historique des rues de Gaillac : Cité et faubourgs, Gaillac, Ed. Jisedit des Sept-Fontaines, , 144 p. (ISBN 978-2-9534928-0-4)
- Alain Soriano et Bertrand de Viviès, Gaillac et les Gaillacois : Vingt siècles d'histoire, Albi, Edition GRAND SUD, , 128 p. (ISBN 2-908778-55-6)
- Carte géologique de la France à 1/50 000 - Gaillac, Éditions du BRGM Service géologique national, Orléans, 1971 (lire en ligne)
Articles connexes
- vignoble de Gaillac
- Liste des communes du Tarn
- Page sur la famille Thoéry
Liens externes
- Site de la mairie
- Recensement.insee.fr - Gaillac sur le site de l'Insee
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :