AccueilFrChercher
Jean-Pierre Aumont
Description de cette image, également commentée ci-après
Jean-Pierre Aumont en 1959.
Nom de naissance Jean-Pierre Philippe Salomons
Surnom Jean-Pierre Aumont
Naissance
9e arrondissement de Paris (France)
Nationalité Drapeau de la France Française
Décès (à 90 ans)
Gassin (Var, France)
Profession Acteur
Films notables Lac aux dames
Hôtel du Nord
La Nuit américaine

Jean-Pierre Salomons, dit Jean-Pierre Aumont, est un acteur français, né le dans le 9e arrondissement de Paris et mort le à Gassin (Var).

Jeune premier vedette du cinéma français dans l'entre-deux-guerres, il participe également, durant sa longue carrière, à divers films américains.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, il a combattu dans les Forces françaises libres.

Il est le père de l’actrice franco-américaine Tina Aumont.

Biographie

Origines familiales

Jean-Pierre Philippe Salomons est le fils d'Alexandre Abraham Salomons (Amsterdam, 1881 - New York, 1964) — un Juif hollandais administrateur d'une société (La Maison du Blanc) et proche collaborateur de Raphaël-Edouard Worms[1] —, et d'une actrice française Suzanne Cahen (Paris, 1885 - Paris, 1940)[2],[3],[4]. Il est « d'ascendance ashkénaze et séfarade »[3]. La famille Salomons habite à Paris où Jean-Pierre naît.

Un de ses oncles est le philosophe Henri Berr, un autre est l'homme de lettres chevalier de la Légion d'honneur Émile Berr[5], un autre encore est le comédien Georges Berr, sociétaire de la Comédie-Française[6], et son frère fit une carrière de cinéaste sous le nom de François Villiers[7].

Débuts en France

Jean-Pierre Aumont est un jeune garçon qui a une « déplorable tendance de vouloir, à tout prix, s'amuser en tous lieux »[8]. À neuf ans, ses parents l'envoient en pension à Ville-d'Avray où son professeur fouette les élèves tous les matins[9]. Après des années scolaires tumultueuses[10], il s'oriente à 16 ans vers le théâtre, en cela influencé par le prestige de son grand-oncle Georges Berr[8] ou impressionné à 10 ans, lors d'une représentation d'Andromaque à la Comédie-Française[10],[9], et prend des leçons de diction chez Eugène Larcher et des cours d'art dramatique chez Renée Du Minil, rue Bénouville[10]. Il s'inscrit au Conservatoire de Paris comme figurant et y obtient un premier accessit[11] mais s'en fait exclure pour n'avoir pu réfréner un fou-rire lors d'une scène d'Œdipe-Roi[10].

Jean-Pierre Aumont dans Lac aux dames (1934).

Fréquentant les coulisses du Théâtre-Français, il est repéré par Louis Jouvet qui le fait débuter dans sa troupe dans la comédie intitulée Le Prof' d'anglais ou Le système Puck de Régis Gignoux, en 1931[8]. La même année, il apparaît en silhouette au cinéma dans Jean de la Lune[3] puis obtient un premier rôle comme jeune ouvrier sombrant dans la délinquance dans Dans les rues de 1933. Il joue encore en 1933 dans des mélodrames de boulevards comme Le Voleur de Maurice Tourneur.

Doté d'une beauté physique particulièrement avantageuse, grand garçon blond aux yeux bleus, à la fois sportif et romantique, frais et optimiste, tantôt rieur « au sourire franc », tantôt rêveur, il n'a aucun mal à accéder à des rôles de jeune premier au cinéma qui lui ouvre grand ses portes[10],[12]. Jean Cocteau lui confie en 1934 celui d'Œdipe dans sa Machine infernale, à la Comédie des Champs-Élysées, qui remporte un certain succès[3]. Cette même année, il figure un soupirant sacrifié dans le film Maria Chapdelaine de Julien Duvivier.

Publicité où figure Aumont, vers 1930.

Il triomphe en 1934 en tant que maître-nageur séduisant dans Lac aux dames de Marc Allégret avec Simone Simon et Michel Simon, puis obtient un rôle de laitier poétique en 1937 dans Drôle de drame de Marcel Carné avec Françoise Rosay et Michel Simon et celui d'un amant désespéré dans Hôtel du Nord 1938 du même Carné avec Annabella, Louis Jouvet et Arletty, films de belle notoriété[3].

En 1936, il est dans Tarass Boulba le fils de Tarass Boulba interprété par Harry Baur, et réalisé par Alexis Granowsky aux côtés de Danielle Darrieux. Il tourne pour Robert Siodmak Le Chemin de Rio en 1937 avec Jules Berry et Suzy Prim. Il joue également dans des feuilletons d'aventures tels que Chéri-Bibi, en 1938, de Léon Mathot.

Il joue au théâtre Le Cœur de Henry Bernstein avec Claude Dauphin au théâtre du Gymnase, en 1936, et Sérénade à trois avec Blanche Montel, de Noël Coward[10].

Il écrit également pour le théâtre, d'abord en 1937 L'Empereur de Chine puis L'Ile heureuse, en 1950[13].

À la suite de l'invasion allemande, Aumont sert dans la 3e division blindée française entre 1939 et 1940[3].

Seconde Guerre mondiale

Jean-Pierre Aumont et Susan Peters dans Assignment in Brittany (1943).

Du fait de ses origines juives, il obtient un visa de complaisance du consul du Honduras, (de) Mauricio Rosal, qui lui permet, transitant par le Portugal et le Honduras, de s'exiler aux États-Unis en 1940, où il va rapidement devenir la « coqueluche française d'Hollywood »[14],[10],[9].

Dès son arrivée à New York, Antoine de Saint-Exupéry lui prête son duplex dominant l'île de Manhattan[15]. Ne parlant pas encore l'anglais, il apprend phonétiquement ses répliques[3] et part en tournée avec Katharine Cornell pour jouer un petit rôle dans Rose Burke, une pièce de Henri Bernstein, qui récolte de mauvaises critiques mais sa prestation est remarquée[15],[16]. La doublure de Jean-Pierre Aumont est alors un débutant du nom de Gregory Peck[10].

En 1943, il est la vedette de deux films de guerre ayant pour cadre le conflit en France : Un commando en Bretagne (Assignment in Brittany) de Jack Conway, avec Susan Peters, et La Croix de Lorraine (The Cross of Lorraine) de Tay Garnett avec Gene Kelly[3].

Abandonnant son confort californien, il s'engage dans les Forces françaises libres en et sert le cinéma de propagande[13],[3]. Il fait partie des troupes qui libèrent la France, notamment en tant que lieutenant, aide de camp du général Diego Brosset, commandant la 1re division française libre. Il survit à la chute de la Jeep qui provoque la mort du général Brosset le au pont du Rahin, à Champagney en Haute-Saône. Il avait précédemment participé aux campagnes d'Afrique du Nord dont la Tunisie avec l'opération Torch, d'Italie et au débarquement de Provence[14],[3].

Blessé deux fois au cours de ces années, il reçoit la croix de guerre 1939-1945 et la Légion d'honneur[3].

Carrière internationale

Jean-Pierre Aumont dans le film Lili (1953).

Après la guerre, Jean-Pierre Aumont se partage entre l'Europe et les États-Unis[13].

En mai 1946, il interprète avec Michèle Morgan une adaptation pour la radio de Shadow of a doubt (L'ombre d'un doute) diffusée sur la Chaîne Parisienne[17]. La même année, il joue avec Ginger Rogers dans la comédie Un coeur à prendre de Sam Wood[3].

Son charme et son élégance lui ayant ouvert les portes d'Hollywood, Jean-Pierre Aumont capture « l'admiration du public américain avec son charisme » et devient le nouveau French lover du cinéma outre-Atlantique[3].

En 1947, il interprète le compositeur russe Nicolaï Rimski-Korsakov dans une fantaisie hollywoodienne intitulée Schéhérazade (Song of Scheherazade) aux côtés d'Yvonne De Carlo[3]. Ses deux derniers films ayant été accueillis tièdement, Aumont décide de revenir en France avec sa femme dont la carrière décline, et sa fille Marie-Christine, née en 1946[3]. De temps à autre, il retourne sur le sol américain et apparaît à Broadway, notamment en 1949 avec son œuvre Figure of a Girl rebaptisée My Name Is Aquilon, une pièce où il joue avec Lili Palmer mais qui ne remporte pas un grand succès[3].

Il partage l'affiche avec María Montez, en 1949, dans le rôle du beau Hans le marin[3]. Il tourne dans de nouvelles versions de L'Atlandide avec encore María Montez en 1948, et de Koenigsmark en 1953. Il travaille deux fois en 1951 pour Gilles Grangier mais l'impact de ses prestations reste limité[3]. Cette même année, son épouse meurt tragiquement[3].

Dans les années 1950, Aumont semble mieux s'en sortir dans ses apparitions télévisées dans des œuvres classiques, notamment Les armes et l'homme et Crime et châtiment[3].

Jean-Pierre Aumont au festival de Cannes 1993.

On le retrouve en 1953 dans Moineaux de Paris de Maurice Cloche aux côtés des Petits chanteurs à la croix de bois et dans Lili de Charles Walters avec Leslie Caron et Mel Ferrer, pour la MGM. Il joue dans Si Versailles m'était conté de Sacha Guitry, en 1954, et dans La Charge des lanciers, la même année, avec Paulette Goddard[3].

Dès 1957, il écrit ses mémoires intitulées Souvenirs provisoires. Par la suite, il écrira également des pièces de théâtre et des recueils de nouvelles[10].

Il joue à nouveau sur scène, pendant deux ans à Broadway, au début des années 1960 dans Le général ennemi, Le diable à 4 heures ou Le Couteau dans la plaie[3]. On le retrouve également dans The Heavenly Twins et A Second String, tenant le rôle-titre dans The Affairs of Anatol, Murderous Angels[3]. Il effectue des apparitions dans des comédies musicales comme Tovarich aux côtés de Vivien Leigh[13],[11], Jacques Brel Is Alive and Well and Living in Paris, Pacifique Sud ou Gigi avec sa nouvelle épouse Marisa Pavan. Le couple forme également un numéro de cabaret chaleureusement accueilli à New York[3] ; ils partent alors ensemble en tournée aux États-Unis[10].

Jean-Pierre Aumont apparaît encore dans diverses productions théâtrales, cinématographiques ou télévisées françaises et étrangères, au milieu desquelles se détachent en 1973 un film remportant un grand succès, La Nuit américaine de François Truffaut, et encore Le chat et la souris de Claude Lelouch en 1975[3]. Son activité cinématographique se ralentit dans les années qui suivent puis il tient des rôles de premier plan dans les remakes de Nana en 1982 et de Senso en 1993[3].

Il est membre du jury de Miss Univers en 1973 à Athènes en Grèce.

Dans les années 1990, il tient des petits rôles au cinéma ; notamment, James Ivory l'emploie dans Jefferson à Paris, en 1995. L'année précédente, en 1994, il joue aux côtés de Mylène Farmer dans le film Giorgino, premier long-métrage de Laurent Boutonnat[10].

Durant sa carrière, il tourne en tout dans une cinquantaine de films, de Paris à Rome, de Londres à Hollywood.

Décorations

Outre ses distinctions de croix de Guerre puis une Légion d'honneur, il est fait commandeur dans l'ordre des Arts et des Lettres en 1991 et reçoit un César d'honneur en 1992[3].

Plaque apposée sur l'immeuble du 4 allée des Brouillards (Paris).

Vie privée

Jean-Pierre Aumont est le compagnon de l'actrice française Blanche Montel (de 1934 jusqu'à son départ pour les États-Unis en 1940). Blanche Montel avait été l'épouse du cinéaste Henri Decoin de 1927 à 1934[3].

Aux États-Unis, il se marie après trois mois de fréquentation avec l'actrice dominicaine María Montez, avec laquelle il a ensuite une fille, Tina Aumont (1946-2006)[3]. Sont notamment présents à la noce ses amis Charles Boyer en tant que témoin et Ronald Reagan[3]. Son épouse María Montez est retrouvée morte noyée dans sa baignoire en 1951, dans leur pavillon situé rue des Raguidelles à Suresnes, où le couple vivait alors[18],[19].

Dans les années 1950, il a une liaison avec l'actrice Grace Kelly, future princesse de Monaco[3].

En 1956, il épouse en troisièmes noces à Santa-Barbara l'actrice italienne Marisa Pavan, sœur jumelle de Pier Angeli, avec qui il a deux fils, Jean-Claude Aumont (né en 1957) qui deviendra caméraman et Patrick Aumont (né en 1959)[3]. Le couple divorce en 1963 et se marie à nouveau à San Clemente en Californie en 1969[20].

  • Compagnes et épouses
  • Blanche Montel, v. 1910-1920.
    Blanche Montel, v. 1910-1920.
  • Maria Montez, 1944.
    Maria Montez, 1944.
  • Grace Kelly, 1956.
    Grace Kelly, 1956.
  • Marisa Pavan et Jean-Pierre Aumont, 1965.
    Marisa Pavan et Jean-Pierre Aumont, 1965.

On lui connaît également des liaisons avec les actrices américaines Joan Crawford, Hedy Lamarr, Vivien Leigh et Barbara Stanwyck[21],[22],[12].

Il n'a pas de lien de parenté avec l'acteur Michel Aumont.

Mort et hommages

Il meurt à 90 ans d'une crise cardiaque à Gassin, dans les environs de Saint-Tropez[14]. Ses obsèques ont lieu au crématorium du cimetière du Père-Lachaise et ses cendres sont remises à la famille[23].

Une plaque en hommage à Jean-Pierre Aumont est dévoilée le au 4, allée des Brouillards, dans le 18e arrondissement de Paris, où il a longtemps habité.

Le , la Cinémathèque française célèbre son centenaire.

Il existe un Fonds Jean-Pierre Aumont qui couvre les années 1947 à 1984[13].

Filmographie

Cinéma

Jean-Pierre Aumont en 1946 (photo studio Harcourt).
  • 1931 : Jean de la Lune de Jean Choux (Alexandre) avec Michel Simon et Madeleine Renaud
  • 1931 : Échec et mat de Roger Goupillières (Jacques)
  • 1932 : Faut-il les marier ? de Pierre Billon et Karel Lamač (Jim)
  • 1933 : Dans les rues de Victor Trivas (Jacques)
  • 1933 : Un jour viendra de Gerhard Lamprecht et Serge Veber (Henri de Langillier)
  • 1933 : La Merveilleuse Tragédie de Lourdes d'Henri Fabert (Georges)
  • 1933 : Ève cherche un père de Mario Bonnard (Jacques de la Motte)
  • 1934 : Lac aux dames de Marc Allégret (Eric Heller) avec Simone Simon et Michel Simon
  • 1934 : Le Voleur de Maurice Tourneur (Fernand Lagardes) avec Victor Francen
  • 1934 : Maria Chapdelaine de Julien Duvivier (Lorenzo Surprenant) avec Madeleine Renaud et Jean Gabin
  • 1935 : Les Yeux noirs de Victor Tourjanski (Karpoff) avec Harry Baur, Viviane Romance et Simone Simon
  • 1935 : L'Équipage de Anatole Litvak (Herbillon) avec Annabella et Charles Vanel
  • 1935 : Les Beaux Jours de Marc Allégret (Pierre) avec Simone Simon et Raymond Rouleau
  • 1936 : Tarass Boulba d'Alexis Granowsky (André Boulba) avec Harry Baur et Danielle Darrieux
  • 1936 : La Porte du large de Marcel L'Herbier (Pierre Villette) avec Victor Francen
  • 1937 : Le Chemin de Rio de Robert Siodmak (Henri Voisin) avec Jules Berry et Suzy Prim
  • 1937 : Drôle de drame ou L'étrange aventure du Docteur Molyneux de Marcel Carné (Billy, le laitier) avec Louis Jouvet et Michel Simon
  • 1937 : Le Messager de Raymond Rouleau (Gilbert Rollin) avec Jean Gabin et Gaby Morlay
  • 1937 : Maman Colibri de Jean Dréville (Georges de Chambry)
  • 1937 : La Femme du bout du monde de Jean Epstein (Lt. Jacquet) avec Charles Vanel
  • 1938 : Chéri-Bibi de Léon Mathot (Raoul Palas) avec Pierre Fresnay
  • 1938 : Hôtel du Nord de Marcel Carné (Pierre) avec Annabella, Louis Jouvet et Arletty
  • 1938 : Le Paradis de Satan de Félix Gandéra (Jean Larcher) avec Pierre Renoir
  • 1938 : Belle Étoile de Jacques de Baroncelli (Jean-Pierre) avec Michel Simon
  • 1939 : Le Déserteur ou Je t'attendrai de Léonide Moguy (Paul Marchand)
  • 1939 : S.O.S. Sahara de Jacques de Baroncelli (Paul Moutier) avec Charles Vanel
  • 1943 : Un commando en Bretagne (Assignment in Brittany) de Jack Conway (Bertrand Corlay / Capt. Pierre Matard)
  • 1943 : La Croix de Lorraine (The Cross of Lorraine), de Tay Garnett (Paul Dupré) avec Gene Kelly
  • 1944 : Croix de Lorraine en Italie - court métrage - de François Villiers - Uniquement le commentaire
  • 1946 : Un cœur à prendre - (Heartbeat) de Sam Wood (Pierre de Roche) avec Ginger Rogers
  • 1947 : Schéhérazade (Song of Scheherazade) de Walter Reisch (Nikolai Rimsky-Korsakov)
  • 1948 : Le Destin de Léopold Ier - (The first gentleman) d'Alberto Cavalcanti (Prince Leopold)
  • 1948 : L'Atlantide, titre original : Siren of Atlantis d'Arthur Ripley et Gregg G. Tallas (André St. Avit) avec María Montez
  • 1949 : Hans le marin de François Villiers (Eric Martin, alias Hans Norben) avec María Montez et Lilli Palmer
  • 1949 : Golden Arrow de Gordon Parry (André Marchand)
  • 1950 : La vie commence demain - documentaire - de Nicole Vedrès
  • 1950 : L'Homme de joie de Gilles Grangier (Henri Perlis)
  • 1951 : L'Amant de paille de Gilles Grangier (Stanislas Michodier)
  • 1951 : La Revanche du corsaire - (La vendetta del corsaro) de Primo Zeglio (Enrico di Roccabruna) avec María Montez
  • 1951 : Dernier rendez-vous - (Ultimo incontro) de Gianni Franciolini (Michele Bonesi) avec Alida Valli et Amedeo Nazzari
  • 1951 : Hollywood sur Seine - court métrage de François Villiers
  • 1952 : Les loups chassent la nuit de Bernard Borderie (Cyril)
  • 1953 : Moineaux de Paris de Maurice Cloche (Césarin)
  • 1953 : Lili de Charles Walters (Marc) avec Leslie Caron et Mel Ferrer
  • 1953 : Kœnigsmark de Solange Térac Raoul Vignerte
  • 1953 : Vedettes en pantoufles - court métrage de Jacques Guillon
  • 1954 : La Charge des lanciers (Charge of the lancers) de William Castle (Capt. Eric Evoir) avec Paulette Goddard
  • 1954 : Si Versailles m'était conté... de Sacha Guitry (Cardinal de Rohan)
  • 1955 : Dix-huit heures d'escale de René Jolivet (Robert) avec Maria Mauban et Georges Marchal
  • 1955 : Napoléon de Sacha Guitry (Régnault de Saint-Jean d'Angély)
  • 1955 : Mademoiselle de Paris de Walter Kapps (Maurice Darnal)
  • 1956 : L'Impudique - (Hilda Crane) de Philip Dunne (Professeur Jacques De Lisle) avec Jean Simmons
  • 1957 : La Passe dangereuse - (The seventh sin) de Ronald Neame (Paul Duvelle)
  • 1959 : La Verte Moisson de François Villiers - Il est uniquement le codialoguiste
  • 1959 : John Paul Jones, maître des mers (John Paul Jones) de John Farrow (le roi Louis XVI) avec Robert Stack et Bette Davis
  • 1960 : Le Général ennemi - (The Enemy general) de George Sherman (Durand) avec Van Johnson et Dany Carrel
  • 1961 : La Blonde de Buenos Aires - (The blonde from Buenos-Aires) de George Cahan
  • 1961 : Le Diable à 4 heures - (The devil at four o'clock) de Mervyn LeRoy (Jacques) avec Spencer Tracy et Frank Sinatra
  • 1961 : Le Puits aux trois vérités de François Villiers (Un invité au vernissage)
  • 1961 : L'Art de vivre - court métrage - d'Édouard Berne
  • 1962 : Les Sept Péchés capitaux film à sketches épisode : "L'Orgueil" (Le mari) avec Marina Vlady et Sami Frey
  • 1962 : Le Couteau dans la plaie - (Five miles to midnight) de Anatole Litvak (Alan Stewart) avec Sophia Loren et Anthony Perkins
  • 1962 : Un dimanche d'été - (Una domenica d'estate) de Giulio Petroni
  • 1962 : L'Affaire du cheval sans tête - (The horse without a head) de Don Chaffey - L'inspecteur Sinet
  • 1962 : Le Carnaval du crime de George Cahan (Mike Voray)
  • 1963 : Vacances portugaises de Pierre Kast (Jean-Pierre)
  • 1965 : Il était une fois un tracteur de Leopoldo Torre Nilsson
  • 1967 : Le Collectionneur de cadavres - (Blind man's bluff) de Edward Mann avec Boris Karloff
  • 1969 : Un château en enfer - (Castle keep) de Sydney Pollack (Le comte de Maldorais) avec Burt Lancaster
  • 1970 : Le Collectionneur de cadavres de Santos Alcocer (Claude Marchand)
  • 1971 : L'Homme au cerveau greffé de Jacques Doniol-Valcroze (Jean Marcilly)
  • 1971 : Biribi de Daniel Moosmann (Général)
  • 1973 : La Nuit américaine de François Truffaut (Alexandre) avec Jacqueline Bisset
  • 1974 : Le Chasseur d'ombres de Teri Mc Luhan - Commentateur de la version Française
  • 1974 : Vérités et Mensonges d'Orson Welles - Simple apparition
  • 1975 : Les Deux Missionnaires - (Porgi l'altra guancia) de Franco Rossi Delgado avec Terence Hill et Bud Spencer
  • 1975 : The Happy hooker de Nicholas Sgarro (Yves St. Jacques)
  • 1975 : Le Chat et la Souris de Claude Lelouch (Monsieur Richard) avec Michèle Morgan et Serge Reggiani
  • 1975 : Catherine et compagnie de Michel Boisrond (Marquis de Puisargue) avec Jane Birkin, Patrick Dewaere et Jean-Claude Brialy
  • 1975 : Mahogany de Berry Gordy (Christian Rosetti) avec Diana Ross et Anthony Perkins
  • 1976 : Des journées entières dans les arbres de Marguerite Duras (Le fils) avec Madeleine Renaud et Bulle Ogier
  • 1978 : Black out... et la terreur commence - (New York black out) d'Eddy Matalon (Henri) avec June Allyson et Ray Milland
  • 1978 : Deux Solitudes - (Two solitudes) de Lionel Chetwynd (Jean-Claude Tallard)
  • 1979 : Un bout de paradis - (Something short of paradise) de David Helpern (Jean-Fidel Mileau)
  • 1981 : Allons z'enfants d'Yves Boisset (Commandant Félix)
  • 1981 : Difendimi dalla notte de Claudio Fragasso
  • 1982 : La villa delle anime maledette de Carlo Ausino
  • 1982 : Nana de Dan Wolman (Muffat)
  • 1983 : La Java des ombres de Romain Goupil (M. Jean)
  • 1984 : Le Sang des autres de Claude Chabrol : (M. Blomart)
  • 1986 : On a volé Charlie Spencer ! de Francis Huster : (Le héros, séquence de l'Hôtel du Nord)
  • 1987 : Sweet Country de Michael Cacoyannis (M. Araya)
  • 1988 : À notre regrettable époux de Serge Korber (Alexandre Mouton-Sabrat) avec Alida Valli et Jacqueline Maillan
  • 1989 : Le Français libre de Jim Goddard (Edmond de Roujay)
  • 1990 : Los Mares del sur de Manuel Esteban (Marqués de Munt)
  • 1991 : Devenir Colette de Danny Huston (Capitaine)
  • 1991 : Une étoile pour deux (A Star for Two) de Jim Kaufman
  • 1994 : Giorgino de Laurent Boutonnat (Sébastien)
  • 1995 : Jefferson à Paris - (Jefferson in Paris) de James Ivory (d'Hancarville) avec Nick Nolte
  • 1996 : La Propriétaire d'Ismail Merchant (Franz Legendre) avec Jeanne Moreau

Télévision

  • 1951 : Robert Montgomery Presents série télévisée : A christmas gift
  • 1951 : Celanese Theatre série télévisée : No Time for Comedy
  • 1952 : Goodyear Television Playhouse série télévisée : A Softness in the Wind
  • 1952 : Studio One série télévisée : Letter from an Unknown Woman
  • 1953 : The Philco Television Playhouse série télévisée : The Way of the Eagle
  • 1953 : Lux Video Theatre série télévisée
  • 1954 : Lady Warner a disparu téléfilm de François Chatel
  • 1954 : Studio 57 série télévisée de Paul Landres
  • 1955 : The Martha Raye Show série télévisée
  • 1956 : Climax! série télévisée (Father James Cannon)
  • 1957 : Errol Flynn Theater série télévisée de Lawrence Huntington
  • 1957 : Kraft Television Theatre série télévisée
  • 1958 : Playhouse 90 série télévisée
  • 1960 : Letter to Loretta série télévisée
  • 1960 : So Help Me, Aphrodite téléfilm
  • 1960 : The United States Steel Hour série télévisée
  • 1963 : The Patty Duke Show série télévisée (Andre Malon)
  • 1963 : L'Affaire du cheval sans tête téléfilm
  • 1965 : The Nurses série télévisée (Dr. Joseph De Carlo)
  • 1967 : Le comte Yoster a bien l'honneur série télévisée : "La troisième prophétie de l'ange de la mort"
  • 1968 : Les Chevaliers du ciel série télévisée de François Villiers d'après l’œuvre de Jean-Michel Charlier
  • 1968 : Les Règles du jeu (The Name of the Game) série télévisée "The White Birch" (Emilio Fazio)
  • 1969 : Au théâtre ce soir : Carlos et Marguerite de Jean Bernard-Luc, mise en scène Christian-Gérard, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny
  • 1970 : La Pomme de son œil de François Villers (Roland de Mailly)
  • 1972 : Comme il vous plaira téléfilm d'Agnès Delarive (Le duc)
  • 1972 : Joyeux Chagrins téléfilm de François Gir (Max Aramont)
  • 1975 : Au théâtre ce soir : On croit rêver de Jacques François, mise en scène de l'auteur, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Edouard VII
  • 1975 : N'oubliez pas que nous nous aimons téléfilm de Luc Godevais (Franck)
  • 1976 : Starsky et Hutch série télévisée de William Blinn "Murder at Sea" (Captain La Rue)
  • 1977 : Rendez-vous en noir série télévisée de Claude Grinberg (Garrisset)
  • 1978 : La Corde au cou série télévisée de Marcel Moussy Comte de Claudieuse
  • 1979 : Paris-Vichy d'Anne Revel (Alexis)
  • 1979 : Le Petit Théâtre d'Antenne 2 : pièce La Belette de Charles Vildrac
  • 1979 : La croisière s'amuse (nom original : The Love Boat) série télévisée (1 épisode)
  • 1979 : The French Atlantic Affair série télévisée de Douglas Heyes (Chef Jean-Claude Raffin)
  • 1979 : Beggarman, voleur de Lawrence Doheny (Jean Delacroix)
  • 1980 : Les Diamants de l'oubli (The Memory of Eva Ryker) téléfilm de Walter Grauman (Inspecteur Laurier)
  • 1980 : Un temps pour les miracles téléfilm de Michael O'Herlihy (Père DuBois)
  • 1981 : Carte Vermeil d'Alain Levent (Michel Herboise)
  • 1981 : Arcole ou la terre promise téléfilm de Marcel Moussy
  • 1981 : Emmenez-moi au théâtre "Le Fleuve étincelant" pièce télévisée de Charles Morgan (Lord Harroby)
  • 1982 : Pour l'amour du risque de Earl Bellamy : Andrew / Claude Beauvais
  • 1983 : Quelques hommes de bonne volonté série télévisée de François Villiers (Sampeyre)
  • 1983 : Les Beaux Quartiers téléfilm de Jean Kerchbron (Quesnel)
  • 1984 : Simon et Simon série télévisée
  • 1984 : L'Âge vermeil série télévisée de Roger Kahane (Jean Crémieu) avec Danielle Darrieux
  • 1985 : Coup de soleil téléfilm de Paul-Robin Banhaïoun (Gérard)
  • 1985 : La Reverdie de Philippe Condroyer (Fabre)
  • 1985 : Le Regard dans le miroir série télévisée de Jean Chapot (Vasco Pessoa)
  • 1986 : La Griffe du destin (Sins), feuilleton télévisé de Douglas Hickox : Comte De Ville
  • 1987 : Johnny Monroe téléfilm de Renaud Saint-Pierre (le père de Ben)
  • 1987 : épisode Melba de la série télévisée Great Performances de Rodney Fisher (comte de Paris)
  • 1988 : Les Moulins des dieux téléfilm de Lee Philips
  • 1988 : Cinéma série télévisée de Philippe Lefebvre (Henri Marquet)
  • 1988 : Le Bonheur d'en face série télévisée de Teff Erhat (lui-même)
  • 1989 : Une histoire de deux villes de Philippe Monnier (Dr. Alexandre Manette)
  • 1989 : Les Grandes familles série télévisée d'Édouard Molinaro (Oliver Meignerais)
  • 1989 : Les Millionnaires du jeudi série télévisée
  • 1991 : Le Dernier Mot de Gilles Béhat (Gustave Durieux)
  • 1991 : Force de frappe (titre original : Counterstrike) série télévisée (Jean-Jacques Truffaut)
  • 1991 : Renseignements généraux série télévisée (Lord Malford) (1 épisode : "Le démon de midi")
  • 1991 : Crimes et Jardins de Jean-Paul Salomé (Lamoureux)
  • 1993 : Senso téléfilm de Gérard Vergez (Le comte Anton)
  • 1993 : épisode Paris, septembre 1908 de la série télévisée Les Aventures du jeune Indiana Jones de René Manzor (Edgar Degas)

Cinéastes ayant tourné avec Jean-Pierre Aumont

Théâtre

Adaptation

  • 1958 : Lucy Crown d'Irwin Shaw, mise en scène Pierre Dux, théâtre de Paris

Auteur

  • L'Empereur de Chine, pièce de théâtre en 2 parties et 4 tableaux, préface de Jean Cocteau, créée en 1947, dans une mise en scène de Marcel Herrand au théâtre des Mathurins, et publiée par les Éditions Nagel en 1948.
  • L'Île heureuse, pièce de théâtre mise en scène par Pierre Dux, au théâtre Edouard VII en 1951
  • Un beau dimanche, jouée en 1952 au théâtre de la Michodière
  • Farfada, 1957 Comédie Wagram
  • 1959 : Ange le Bienheureux, mise en scène Jacques Charon, théâtre des Célestins

Comédien

  • 1926 : Au grand large de Sutton Vane, mise en scène Louis Jouvet, Comédie des Champs-Élysées
  • 1926 : Le Carrosse du Saint Sacrement de Prosper Mérimée, mise en scène Louis Jouvet, Comédie des Champs-Élysées
  • 1930 : Le Prof d'anglais ou le système Puck de Régis Gignoux, mise en scène Louis Jouvet, Comédie des Champs-Élysées
  • 1932 : La Pâtissière du village ou Madeleine d'Alfred Savoir, mise en scène Louis Jouvet, théâtre Pigalle
  • 1934 : Au grand large de Sutton Vane, mise en scène Louis Jouvet, Comédie des Champs-Élysées
  • 1934 : La Machine infernale de Jean Cocteau, mise en scène Louis Jouvet, Comédie des Champs-Élysées
  • 1936 : Le Cœur d'Henry Bernstein, théâtre du Gymnase
  • 1936 : Quartier nègre de Georges Simenon, Bruxelles, Théâtre Royal des Galeries Saint-Hubert.
  • 1937 : Famille de Denys Amiel et Monique Amiel-Pétry, mise en scène Marcel André, théâtre Saint-Georges
  • 1939 : L'Amant de paille de Marc-Gilbert Sauvajon et André Bost, mise en scène Jean Wall, théâtre Michel
  • 1944 : Une grande fille toute simple d'André Roussin, mise en scène Louis Ducreux, théâtre des Ambassadeurs
  • 1947 : L'Empereur de Chine de Jean-Pierre Aumont, mise en scène Marcel Herrand, théâtre des Mathurins
  • 1949 : My Name Is Aquilon d'après L'Empereur de Chine de Jean-Pierre Aumont, adaptation Philip Barry, mise en scène Robert B. Sinclair, Lyceum Theatre (New York)
  • 1950 : Le Voyage de Henry Bataille, mise en scène Henri Bernstein, théâtre des Ambassadeurs
  • 1953 : Les Pavés du ciel d'Albert Husson, mise en scène Christian-Gérard, théâtre des Célestins
  • 1954 : Carlos et Marguerite de Jean Bernard-Luc, mise en scène Christian-Gérard, théâtre de la Madeleine
  • 1954 : Les Pavés du ciel d'Albert Husson, mise en scène Christian-Gérard, Comédie Caumartin
  • 1955 : Il y a longtemps que je t'aime de Jacques Deval, mise en scène Jean Le Poulain, Théâtre Edouard VII
  • 1955 : The Heavenly Twins d'après Les Pavés du ciel d'Albert Husson, mise en scène Cyril Ritchard, Booth Theatre
  • 1956 : Amphitryon 38 de Jean Giraudoux, mise en scène Claude Sainval, Comédie des Champs-Élysées
  • 1958 : L'Impromptu de Barentin de André Maurois, Festival de Barentin
  • 1959 : Ange le Bienheureux de Jean-Pierre Aumont, mise en scène Jacques Charon, théâtre des Célestins
  • 1959 : Mon père avait raison de Sacha Guitry, mise en scène André Roussin, théâtre de la Madeleine
  • 1960 : A Second Sting de Lucienne Hill d'après Colette, mise en scène Raymond Gérôme, Eugene O'Neill Theatre (New York)
  • 1962 : Flora de Fabio Mauri et Franco Brusati, mise en scène Jules Dassin, théâtre des Variétés
  • 1963 : Tovarich de Anne Croswell et Lee Pockriss, mise en scène Peter Glenville, Broadway Theatre, Winter Garden Theatre
  • 1970 : Camino Real de Tennessee Williams, mise en scène Milton Katselas, Vivian Beaumont Theatre (New York)
  • 1971 : Les Anges meurtriers de Conor Cruise O'Brien, mise en scène Joan Littlewood, Théâtre de Chaillot
  • 1971 : Murderous Angels de Conor Cruise O'Brien, mise en scène Gordon Davidson, Playhouse Theatre (New York)
  • 1972 : Nous irons à Valparaiso de Marcel Achard, mise en scène Jacques-Henri Duval, théâtre des Célestins, tournée Herbert-Karsenty
  • 1975 : Des journées entières dans les arbres de Marguerite Duras, mise en scène Jean-Louis Barrault, théâtre d'Orsay
  • 1976 : Des journées entières dans les arbres de Marguerite Duras, mise en scène Jean-Louis Barrault, Ambassador Theatre (New York)
  • 1981 : A Talent for Murder de Jerome Chodorov et Norman Panama, mise en scène Paul Aaron, Biltmore Theatre (New York)
  • 1982 : Coup de soleil de Marcel Mithois, mise en scène Jacques Rosny, théâtre Antoine
  • 1984 : Pense à l’Afrique d'après Think of Africa de Gordon Dryland, mise en scène Jean-Pierre Granval, théâtre Renaud-Barrault

Distinctions

Décorations

Récompense

  • Césars 1991 : César d'honneur

Box-office France

Publications

  • Souvenirs provisoires, Julliard, 1957, (ISBN 9782307063452)
  • Le Soleil et les ombres, Robert Laffont, 1976 - Prix Roland de Jouvenel de l’Académie française
  • Dis-moi d'abord que tu m'aimes, Flammarion, 1992

Notes et références

  1. « ÉDOUARD-RAPHAËL WORMS », sur entreprises-coloniales.fr,
  2. Who's Who in France, dictionnaire biographique, 1992-1993. Éditions Jacques Lafitte, 1992
  3. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 (en) Gary Brumburgh, « Jean-Pierre Aumont », sur IMDb (consulté le )
  4. Archives départementales AD 75 numérisées- Paris 10, M 14/04/1908, 10M306, page 2, acte n°540 ; AD 75- Paris 17, D 13/05/1940, 17D263, page 2, acte n°705
  5. « Ministère de la culture - Base Léonore », sur www2.culture.gouv.fr (consulté le )
  6. Olivier Barrot et Raymond Chirat, Noir et Blanc, 250 acteurs du cinéma français (1930-1960), Flammarion, 2000
  7. « Jean-Pierre Aumont », sur Vodkaster (consulté le )
  8. 1 2 3 Raymond Chirat, « JEAN-PIERRE AUMONT », sur Encyclopædia Universalis (consulté le )
  9. 1 2 3 Jean-Pierre Aumont, Le soleil et les ombres, (Robert Laffont) réédition numérique FeniXX, (ISBN 978-2-221-22848-7, lire en ligne), section 1
  10. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 Yvan Foucart, « JEAN-PIERRE AUMONT : Dictionnaire des Comédiens Français disparus », sur www.lesgensducinema.com (consulté le )
  11. 1 2 Annie Coppermann, « Un comédien élégant et discret : Jean-Pierre Aumont est mort », sur Les Echos, (consulté le )
  12. 1 2 Pierrick Geais, « Avant Rainier, l’autre grand amour de Grace Kelly », sur Vanity Fair, (consulté le )
  13. 1 2 3 4 5 Cinétheque Francaise-BiFi- Bibliotheque du film, « BiFi - Fonds Jean-Pierre Aumont », sur www.cineressources.net (consulté le )
  14. 1 2 3 « Jean-Pierre Aumont : mort d'un séducteur », sur leparisien.fr, (consulté le )
  15. 1 2 Jean-Pierre Aumont, Le soleil et les ombres, (Robert Laffont) réédition numérique FeniXX, (ISBN 978-2-221-22848-7, lire en ligne)
  16. (en-US) Special to THE NEW YORK TIMES SAN FRANCISCO LAWRENCE DAVIES, « REGARDING 'ROSE BURKE'; Katharine Cornell Launches the Latest Bernstein Play in San Francisco », The New York Times, (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  17. « "L'ombre d'un doute" avec Michèle Morgan et Jean-Pierre Aumont », sur France Culture (consulté le )
  18. Francis Prévost, Histoires de Suresnes, Suresnes Information, 1989, p. 232-233.
  19. Altitude 85 : Le domaine des Hocquettes à Suresnes, 1995, p. 16.
  20. Paris-Presse, L'intransigeant, 8 mai 1969, p.19 : "13 ans après, J.-P. Aumont a réépousé sa femme Marisa Pavan"
  21. « JEAN-PIERRE AUMONT », sur www.cinememorial.com (consulté le )
  22. « Chronologie: Jean-Pierre Aumont Biographie », sur www.kronobase.org (consulté le )
  23. CineMemorial.com

Voir aussi

Bibliographie

  • Jean-Pierre Aumont : Le Soleil et les ombres, Robert Laffont, 1976
  • Yvan Foucart, Dictionnaire des comédiens français disparus 694 portraits, 2147 noms, Mormoiron, Y. Foucart, , 1185 p. (ISBN 978-2-953-11390-7, OCLC 494530531)
  • Olivier Barrot et Raymond Chirat : Noir & Blanc, 250 acteurs du cinéma français 1930-1960, Flammarion, 2000
  • Jean Tulard, Dictionnaire du cinéma. Les acteurs, Éditions Robert Laffont (Collection Bouquins), Paris, , pp. 55–56, (ISBN 978-2-221-10895-6)

Liens externes